influence sociale, interaction interindividuelle, pression de groupe, individu, comparaison sociale, influence
L'influence sociale est une pression qu'un groupe ou la société en général, exerce sur un individu et qui a pour conséquence la modification de ses attitudes et comportements dans la direction des domaines dominant une culture ou une sous-culture donnée.
Lorsqu'il y a influence sociale, le sujet est tiraillé entre deux volontés: celle d'être similaire à autrui et celle de vouloir garder sa personnalité, sa spécificité.
L'influence sociale est présente dans différentes modalités, à savoir, l'uniformité (acceptation d'être comme les autres afin de ne pas subir l'exclusion), la facilitation sociale (changement des performances individuelles) et la comparaison sociale (comparaison de l'individu à autrui quand il n'est pas certain de ses opinions ou de la validité de ces performances). Elle peut alors se mesurer de trois manières différentes, on peut faire une comparaison entre les réactions de sujets influencés par un groupe ou non, une comparaison des réactions obtenues par rapport à différentes conditions d'influence, mais aussi par comparaison entre les réactions d'une personne avant une quelconque influence et celle obtenues à la suite d'une tentative d'influence.
[...] LOORIUS Elodie L2 Psychologie Psychologie Sociale L'influence Sociale Année Scolaire 2011-2012. L'influence sociale est une pression qu'un groupe ou la société en général, exerce sur un individu et qui a pour conséquence la modification de ses attitudes et comportements dans la direction des domaines dominant une culture ou une sous-culture donnée. Lorsqu'il y a influence sociale, le sujet est tiraillé entre deux volontés: celle d'être similaire à autrui et celle de vouloir garder sa personnalité, sa spécificité. L'influence sociale est présente dans différentes modalités, à savoir, l'uniformité (acceptation d'être comme les autres afin de ne pas subir l'exclusion), la facilitation sociale (changement des performances individuel) et la comparaison sociale (comparaison de l'individu à autrui quand il n'est pas certain de ses opinions ou de la validité de ces performances). [...]
[...] Les sujets ne se trompent en aucune manière pour P.Picasso car les pourcentages de je ne sais pas et de non sont de 0,00%. Il en est de même pour V.Hugo car notre échantillon a répondu correctement à 90,00%. Nous pouvons également constater que pour O.Bloom 25,00% de notre échantillon c'était trompé par faute de connaissances personnelles et non pas à cause d'une erreur de jugement, en effet des sujets ont répondu je ne sais pas et 75,00% ont répondu non donc correctement. [...]
[...] Une des trois autres lignes était de même taille que celle de base. On demandait alors aux sujets de déterminer la longueur de cette ligne. sujet était amené à répondre en avant dernière-position, de façon à ce qu'il soit influencé par les réponses volontairement faussées des autres sujets. La réponse étant facile les sujets ne faisaient aucunes erreurs lorsqu'ils étaient seuls dans une pièce. Mais dans la situation précédemment décrite, les pourcentage exposent bien l'influence sociale car il y avait de mauvaise réponses et seulement 24% des sujets répondaient juste à toutes les présentations. [...]
[...] De même, il serait curieux de se demander si l'influence sociale agit également dans le monde animal. Bibliographie : (Expérience de Asch) DESCHAMPS MUGNY DOISE Conformisme et soumission Paris, Armand Colin, col. collection U p. 105-113. (Expérience de Moscovici) MOSCOVICI Serge, Psychologie des minorités actives, 1991(1979), Paris, Presse Universitaire de France, col. Sociologies p.275. [...]
[...] La différence culturelle ainsi que la désirabilité sociale ont pu jouer sur les résultats obtenus. Conclusion: Pour conclure, nous pouvons dire qu'après la passation de notre questionnaire sur un échantillon de 40 personnes concernant l'influence sociale, afin d'affirmer ou d'infirmer notre hypothèse de départ, c'est-à- dire, le nombre de réponses fausses quand les sujets sont influencés sera supérieur au nombre de réponses fausses quand les sujets ne sont pas influencés. Nous avons affirmé notre hypothèse car en effet nous avons constaté que les sujets hésitaient plus sur leur réponses en cochant je ne sais pas plutôt que oui ou non et que le nombre de réponses fausses était plus élevé pour le groupe influencé que le groupe témoin. [...]
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