Afin de contextualiser quelque peu ce sujet, je vais tout d'abord débuter par parler de Freud, auteur de cette quatrième leçon.
Sigmund Freud naquit le 6 mai 1856, à Freiberg en Moravie (région d'Europe centrale formant aujourd'hui la partie orientale de la République tchèque) et décéda le 23 septembre 1939 dans la capitale Anglaise. Il est un psychologue, neurologue et psychiatre d'appartenance juive et est également le fondateur de la psychanalyse.
La psychanalyse est un procédé d'investigations des processus psychiques, qui autrement sont à peine accessibles. C'est également une méthode de traitement des troubles névrotiques, qui se fonde sur cette investigation, c'est-à-dire par cures psychanalytiques. C'est aussi une série de conceptions psychologiques acquises par ce moyen et qui fusionnent en une discipline scientifique nouvelle. Freud est l'un des tous premiers hommes à avoir donner une dimension scientifique à l'inconscient. A son époque, le XIXème siècle, de nombreuses découvertes sont faites dans divers domaines de la science. Freud publia plusieurs livres tels L'interprétation des rêves en 1900, ainsi que Trois essais sur la théorie de la sexualité en 1905. (...)
[...] La psychanalyse est un procédé d'investigations des processus psychiques, qui autrement sont à peine accessible. C'est également une méthode de traitement des troubles névrotiques, qui se fonde sur cette investigation, c'est-à-dire, par cures psychanalytiques. C'est aussi une série de conceptions psychologiques acquises par ce moyen et qui fusionnent en une discipline scientifique nouvelle. Freud est l'un des tous premiers hommes à avoir donner une dimension scientifique à l'inconscient. A son époque, le XIXème siècle, de nombreuses découvertes sont faites dans divers domaines de la science. [...]
[...] La fille va généralement vouloir le père pour elle seule et de ce fait souhaite éloigner sa mère, et inversement. Freud image cette idée avec le mythe d' Œdipe. Ce complexe, nommé Œdipe par Freud, est refoulé très rapidement et constitue le nœud central de chaque névrose. Il y a une période où l'enfant, n'ayant pas encore refoulé ce complexe, verra son psychique s'éveiller et se poser moult interrogations lui permettant de se forger ses propres théories, cependant, du à un manque d'éléments, il se verra contraint d'abandonner ses recherches. [...]
[...] Ils sont dans ce cas considérés comme un point faible étant des fixations partielles. Fixations partielles qui auront pour conséquence la création d'obstacles dans la vie sexuelle qu'aura un adulte. Pour terminer cette partie, Freud explique que le terme sexualité est en général utilisé dans un sens très restreint car celui-ci est uniquement utilisé pour l'aspect reproducteur de l'acte sexuel, laissant de côté de nombreuses fonctions qu'il englobe également. Le dernier thème de ce texte, sur lequel s'exprime Freud, est le complexe œdipien. [...]
[...] Elles auront tout de même un rôle considérable sur le développement psychique de l'enfant, notamment sur le caractère de celui- ci, et seront la sources de futures névroses possibles. Selon Freud, les choix pris par l'enfant sont des choix logiques, cependant l'enfant devra par la suite être attiré par des personnes étrangères et ainsi se détacher des parents et les prendre uniquement comme exemple ; il pourra ainsi jouer son rôle social. Comme petite conclusion, Freud voit le traitement psychanalytique comme une éducation progressive pour surmonter chez chacun de nous les résidus de l'enfance Il veut dire à travers cela que l'éducation est une aide au développement sexuel ainsi qu'à l'éducation et que grâce à celle-ci, il est désormais possible de fouiller au plus profond de notre inconscient. [...]
[...] L'enfant cherche à se procurer du plaisir de manière instinctive, le sujet importe peu. C'est à la puberté que le caractère sexuel de l'enfant se sera formé, celle-ci s'étant organisée durant son développement. Ce dernier peut prendre deux directions : Premièrement, le désir d'une personne étrangère chasse l'auto-érotisme et la deuxième repose sur le fait que la vie sexuelle entre au service de la reproduction La satisfaction des premières tendances n'a plus aucune importance et on remarque une suprématie de la zone génitale. [...]
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