Statistiquement les autres perversions, maladies concernent plus les hommes. Mais si les hommes ont plus tendance à être antisociaux et pervers, la femme a aussi sa spécificité dans plusieurs domaines. Historiquement on s'intéresse à la femme depuis très peu longtemps comme pouvant être criminelle. Avant il y avait une non prise en compte de la femme dans la criminalité, une exclusion de celle-ci. Cela est de l'ordre du symbolique, du sacré : la femme est celle qui donne la vie donc dans l'idéal humain elle ne peut pas la reprendre. Ce sont deux idées antinomiques dans l'idéal humain (...)
[...] Le coté démembrement de la victime n'est pas quelque chose de féminin à l'exception de la volonté de faire disparaître un corps. Mais ce n'est alors pas une condition de mise en scène comme chez les hommes mais de rationalité. La femme est extrêmement rationnel et quand elle tue elle n'a pas foncièrement envie que ça se sache, de montrer ce qu'on a fait, à la différence des hommes. Les femmes ont donc tendance à faire disparaître leurs victimes notamment en les découpant par exemple. Il y a une volonté de cacher chez la femme. [...]
[...] Les femmes criminelles Statistiquement les autres perversions, maladies concernent plus les hommes. Mais si les hommes ont plus tendance à être antisociaux et pervers, la femme a aussi sa spécificité dans plusieurs domaines. Historiquement on s'intéresse à la femme depuis très peu longtemps comme pouvant être criminelle. Avant il y avait une non prise en compte de la femme dans la criminalité, une exclusion de celle-ci. Cela est de l'ordre du symbolique, du sacré : la femme est celle qui donne la vie donc dans l'idéal humain elle ne peut pas la reprendre. [...]
[...] Les femmes enfin n'utilisent pas tout ce qui nécessite une force extrême donc elle n'utilise pas la strangulation. Etouffer avec un objet, la femme le fait. Concernant les fantasmes qu'elles mettent derrière le passage à l'acte, il y a peu de fantasme sexuel qui vont générer le passage à l'acte chez la femme. Pourquoi ? Parce que ses mobiles ne sont pas du tout du point de vue sexuel. Même en cas d'inceste car on est encore dans le contrôle. Elles choisissent leurs victimes le plus souvent dans l'entourage ou quelque un qu'elles ont croisé. [...]
[...] On constate que ces femmes sont souvent amenée à choisir ce métier acr il y a souvent sous jacent cette idée de pouvoir sur la vie. Ce n'est donc pas anodin si elles choisissent ce métier. Pour les faiseuses d'anges, leurs motifs vont être un peu bivalents. Il s'agit et du contrôle et de l'argent. Elles vont faire ça bien entendu pour l'argent : elles rendent services donc faut les payer. Quand une jeune femme tombait enceinte, l'entourage proche disait à cette jeune femme, je connais quelqu'un qui va pouvoir t'aider. Pour cette jeune femme, détresse psychique totale. Elles sont donc totalement manipulables. [...]
[...] En même temps donc elles sont aussi dans le contrôle. Elles avaient en plus tendance à se gausser du nombre d'avortement. Elles avaient donc un contrôle sur la natalité, sur la démographie du pays donc sentiment de pouvoir de contrôle. Pour les veuves noires, la motivation est l'argent. On aura rarement une veuve noire dans un couple où il n'y a pas d'argent. De toute façon de manière générale, la femme ne passe pas à l'acte s'en pouvoir en retirer quelque chose contrairement aux hommes. [...]
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