Le niveau de compétition au travail est une réalité de plus en plus présente dans les sociétés actuelles. En effet, grâce à l'avancée technologique, le monde tend vers une approche où l'homme doit sans cesse dépasser ses limites et être plus efficace au travail afin de développer un monde meilleur et plus productif. La technologie prend maintenant une grande part et on cherche sans cesse à développer de nouvelles inventions et être les meilleurs. Les employeurs sont soumis à de grosses pressions de la part de leurs patrons qui les poussent toujours un peu plus afin d'obtenir les résultats voulus. Cependant, il peut être très difficile de persévérer dans une tâche à effectuer si la personne n'a aucun renforcement verbal de la part d'autrui. En effet, il y a quelques années, Ivanov-Smolenski, est celui qui mit au point la technique du renforcement verbal. Selon ses dires, que ce soit chez les enfants ou les adultes, les renforcements verbaux permettent aux gens d'être plus persévérants dans leur tâche. Dans les travaux de Pierre-Henri François, « Théorie sociale cognitive de Bandura et bilan de compétence : applications, recherches et aspects critiques », on met l'accent sur le célèbre psychologue Bandura, influencé par la théorie béhavioriste. En effet, « Bandura cite plusieurs exemples montrant que l'effet de la situation sur le comportement (renforcement) ne devient vraiment significatif que lorsque le sujet prend conscience de ce renforcement. » Selon sa théorie, chacun a les capacités d'exécuter une tâche, cela dépend seulement de la motivation. Dans le roman de Jean-François Le Ny, « À propos de la méthode dite du « renforcement verbal » chez l'homme adulte », où il mentionne les réalisations d'Ivanov-Smolenski, il fait un lien étroit entre les renforcements verbaux et le conditionnement expérimenté par Pavlov. Cette expérience a permis de faire des liens entre différents aspects du comportement et cela est intrigant pour le développement et la recherche scientifique. D'autres auteurs se penchent davantage sur la relation qui existe entre les comportements et les conséquences, Xavier Seron décrit dans son livre, « la modification du comportement : théorie, pratique, éthique », que la conséquence octroyée, positive ou négative, aura un grand impact sur le comportement de l'individu. Le renforcement positif est à prôner. Il est «bénéfique» car il permet d'augmenter la fréquence d'un bon comportement en valorisant celui-ci.
[...] Est-ce que le temps de persistance à une tâche est plus élevé lorsqu'une personne reçoit des renforcements positifs verbaux? Le sujet de recherche et la problématique. Le niveau de compétition au travail est une réalité de plus en plus présente dans les sociétés actuelles. En effet, grâce à l'avancée technologique, le monde tend vers une approche où l'homme doit sans cesse dépasser ses limites et être plus efficace au travail afin de développer un monde meilleur et plus productif. La technologie prend maintenant une grande part et on cherche sans cesse à développer de nouvelles inventions et être les meilleurs. [...]
[...] La septième règle d'éthique dit qu'il faut traiter de façon complète et objective les données retenues. Nous allons prendre en considération toutes les données obtenues et nous n'allons pas en écarter une seule. Même si notre résultat n'est pas le même que l'hypothèse émise, il est important de garder ces résultats, car ils peuvent être très utiles. Que l'hypothèse soit vraie ou non, l'expérience faire avancer la recherche sur ce sujet. Il peut être très bon de pouvoir avoir plusieurs sortes d'expérience afin de pouvoir comparer pour mieux comprendre le phénomène étudié. [...]
[...] Nous n'avons pas besoin de contrôlé la présence d'autres sujets, car chaque sujets et placé individuellement dans le même local où les autres feront aussi l'expérience. Dans la catégorie tâche, les facteurs parasites seraient le nombre de tâches, le réglage des appareils, la durée de la tâche, l'ordre de passation et la difficulté de la tâche. Il faudrait maintenir constants tous ces facteurs. Pour tous les groupes, le nombre de tâches sera d'une (classer des documents) et cela durera une heure. Il y aura le même réglage des appareils pour tous les sujets qui feront l'expérience. [...]
[...] LE NY Jean-François, À propos de la méthode dite du renforcement verbal chez l'homme adulte pages. SERON Xavier, AMBERT Jean-Luc et autres, La modification du comportement : théorie, pratique, éthique Édition Margada FRANÇOIS Pierre-Henri, Théorie sociale cognitive de Bandura et bilan de compétences : applications, recherches et perspectives critiques, Carriérologie, 541pages, pages 520. LE NY Jean-François, À propos de la méthode dite du renforcement verbal chez l'homme adulte pages, p.371. SERON Xavier, AMBERT Jean-Luc et autres, La modification du comportement : théorie, pratique, éthique Édition Margada pages, p BELVAL Justine, Le renforcement positif, Le journal de Sherbrooke, publié le 26 mars 2011. [...]
[...] Plus le nombre de renforcements verbaux augmente dans une période d'une heure, plus le temps de persistance dans une tâche donnée est élevé Identification de la V.I. La variable indépendante de notre expérience est le nombre de renforcements verbaux, car elle est la cause de la variation du temps de persistance à une tâche. Cette variable est représentée par quatre niveaux, soit de et 20 renforcements verbaux répartis équitablement dans une période d'une heure. La variable indépendante est manipulée, car c'est nous qui construisons les modalités de l'expérience. [...]
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