Ce paradigme est un test qui porte sur la mémoire de travail (MT), plus, particulièrement sur le stockage, la mémorisation et également sur l'oubli de l'information. Ce test a été créé par trois personnes : Brown (1858) et Peterson Margaret et Lyod (1859), il fut mis au point pour démontrer expérimentalement la fragilité de la mémoire de travail et que celle-ci est sujette aux interférences (c'est-à-dire la labilité de la mémoire de travail).
Les auteurs vont partir de l'hypothèse que « La mémoire de travail a besoin de l'activité de répétition pour mémoriser l'information et de faire passer en MLT donc si l'on empêche l'auto-répétition en bloquant la boucle articulatoire en empêchant la mémorisation. »
Ils vont prendre comme variable dépendante (c'est-à-dire ce qu'ils vont mesurer) : le nombre de mots qui vont être correctement rappelés par le sujet.
[...] Le fait de compter à rebours a dû dégrader la mémorisation des mots en empêchant l'auto-répétition donc le passage en MLT. Les auteurs vont formuler plusieurs Hypothèses opérationnelles dans lesquelles nous allons pouvoir : On peut opposer le rappel immédiat et les quatre autres tâches de rappel différé ce qui nous donne : la mémorisation sera meilleure lorsque le rappel est immédiat que lorsque le rappel est différé. 2/plus la tâche interférente sera grande moins le nombre de mots rappelé sera grand. [...]
[...] Conclusion Nous pouvons conclure par le fait que la mémorisation est meilleure pour le rappel immédiat puisque la personne a activé sa boucle phonologique. Par contre, plus la tâche interférente est grande moins le nombre de mots rappelé est grand cela s'explique par le fait que la boucle phonologique ne s'est pas activée il n'y a pas eu rétention de l'information en mémoire de travail (donc en mémoire à court terme) donc le sujet n'a pas pu restituer les informations puisqu'elles ne sont pas présentes dans aucune mémoire. [...]
[...] Qu'est-ce que le Paradigme de Brown-Peterson ? Ce paradigme est un test qui porte sur la mémoire de travail plus, particulièrement sur le stockage, la mémorisation et également sur l'oubli de l'information. Ce test a été créé par trois personnes : Brown (1858) et Peterson Margaret et Lyod (1859), il fut mis au point pour démontrer expérimentalement la fragilité de la mémoire de travail et que celle-ci est sujette aux interférences (c'est-à-dire la labilité de la mémoire de travail). Les auteurs vont partir de l'hypothèse que La mémoire de travail a besoin de l'activité de répétition pour mémoriser l'information et de faire passer en MLT donc si l'on empêche l'autorépétition en bloquant la boucle articulatoire en empêchant la mémorisation. [...]
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