Intelligence, développement de l'individu, développement personnel, Alfred Binet, Théodore Simon, Jean Piaget, génétique, David Wechsler, pluralité d'intelligences
Le terme « intelligence » a été étudié par différents psychologues et spécialistes avec des succès significatifs. Ne se limitant pas seulement sur le développement théorique, les expériences et travaux des chercheurs ont montré que chaque humain possède depuis sa naissance d'un groupe d'intelligence. Il s'agit en effet d'un mélange entre l'héritage génétique et l'environnement.
De fait, les données recueillies mènent à comprendre que les capacités et les talents peuvent être multiples et mesurés à travers différents tests.
[...] Cette vision contient l'idée que l'intelligence n'est pas une capacité unique, mais bien un agrégat de plusieurs traits humains. Pour lui, l'intelligence normale est une valeur moyenne pour les membres d'un groupe défini. Sur une échelle normalisée, la valeur moyenne, établie à 100 par convention, devrait représenter la moyenne de ce groupe. Le choix d'une moyenne de 100 et d'un écart type de 15 permet d'obtenir des résultats proches de ceux obtenus avec les tests de William Stern (âge mental) pour les QI moyens (effet de tassement vers le haut) Le WBIS, revu en 1942 par Wechsler, devint bientôt le test le plus utilisé aux États-Unis. [...]
[...] Cette description est simultanément une application et une attribution. Outre la perception sensorielle et les activités mentales, Charles SPEARMAN (1927)[10] était convaincu qu'il existait un facteur général d'intelligence, qui influençait à la fois les tâches sensorielles et des tâches de plus haut niveau, délivré de l'analyse factorielle. Pour mettre son hypothèse à l'épreuve, il a fait passer une série d'épreuves à des élèves et a conclu que leur moyenne correspondait au facteur g. Cela implique qu'en théorie, ceux qui ont un bon ont une plus grande probabilité de réussir dans toutes les épreuves que ceux qui ont un moyen. [...]
[...] Charles Edward Spearman, né le 10 septembre 1863 et décédé le 17 septembre 1945, est un psychologue anglais connu pour son travail en statistique (analyse factorielle et corrélation) et sur l'intelligence (facteur g). Louis Leon Thurstone (29 mai 1887 - 30 septembre 1955) fut un pionnier américain dans les domaines de la psychométrie et de la psychophysique. Il conçut un modèle de mesures connu sous le nom de of Comparative Judgment », et est renommé pour ses travaux sur l'analyse factorielle. Howard Earl Gardner (né en 1943 à Scranton) est un psychologue du développement et père de la théorie des intelligences multiples. Ses travaux se répercutent parfois dans le milieu scolaire. [...]
[...] Au deuxième niveau, ces capacités se regroupent en huit grands facteurs, dont l'intelligence fluide, l'intelligence cristallisée, la mémoire, la vitesse de traitement de l'information, etc. Au sommet de la pyramide se trouve un facteur d'intelligence générale. En gros, et pour mémoriser les cognitions précises sur l'intelligence, les notions les plus souvent citées s'articulent autour de la : Capacité à comprendre et à manier des idées ; Résolution des problèmes de manière efficace et efficiente ; Grande faculté d'abstraction ; Faculté à s'adapter à de nouvelles situations. [...]
[...] Chaque humain dispose à sa naissance d'un groupe d'intelligence dont chacune se développera selon un rythme qui lui est propre. L'objectif de cet article permettra donc de décrire l'origine et la formation de l'intelligence pour en comprendre la nature, pour en déterminer la valeur et pour en préciser l'usage. Il s'agit de montrer et d'expliquer les différentes théories[4] qui développent la portée de l'intelligence de l'individu en fonction de son état de vie et à travers le potentiel de ses capacités mentales et cognitives. [...]
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