Article tiré d'une thèse de Doctorat sur le Rorschach servant de référence pertinente et solide.
[...] (1947). Psychodiagnostic. Paris: Presses Universitaires de France. Jean- Claude Adrien Helvétius. De l'esprit. Paris cité par E. Bohm (1985). Sans doute avait-il lu, comme tous les enfants de son époque, la Klecksographie de Kerner (1857), l'équivalent germanique du Sapeur Camembert et de La famille Fenouillard, constitué par 50 taches d'encre aux formes sinistres que le poète commentait en des vers mélancoliques( Anzieu. D p.43). [...]
[...] Références : Découverte et historique du test de Rorschach : 1. Découverte du test de Rorschach Au mois de septembre 1921, les dix taches d'encre qui composent le test de Rorschach font leur apparition avec la publication de monographie de Rorschach, le Psychodiagnostik. Peu après, Hermann Rorschach est emporté par une péritonite appendiculaire inopérable à Herisau le 2 avril 1922. En effet, ces données ramènent la vie de Rorschach à celle d'un jeune médecin psychiatre suisse, dont la carrière semble sans grand éclat. [...]
[...] (1980). Les méthodes projectives. Paris: Presses Universitaires de France. Rausch de Traubenberg, N ; Boizou, M-F. (2000). Le Rorschach en clinique infantile. Paris: Dunod. Rausch de Traubenberg, N. (2000). La pratique du Rorschach. Paris: Presses Universitaires de France. Rorschach, H. [...]
[...] A la mort de Hermann Rorschach, presque toute l'édition était encore disponible chez l'éditeur. Les rares critiques étaient insipides ou nettement négatives. Le travail du psychiatre génial inaugurant une nouvelle époque, ne rencontra d'abord qu'incompréhension et résistance, issue des mêmes cercles (William Stern, A. Hoche et Oswald Bumke) qui avaient également récusé la psychanalyse Méthode et préhistoire du test de Rorschach La méthode qui consiste à faire interpréter des taches d'encre symétriques présentées en 10 planches standardisées, a des prédécesseurs. [...]
[...] Dix ans après la mort de son inventeur, le test commença à se répandre. Le suisse Binder ajouta les réponses clair-obscur (Clob) à la nomenclature (1932). Le test s'imposa dans les pays francophones après la deuxième guerre mondiale, sous l'influence de la Genevoise Marguerite Loosli-Usteri, de son élève parisienne Nella Canivet, d'André Ombredane, traducteur français de Psychodiagnostik, et de Cécile Beizmann. Avec quelques légères différences, la première et les deux suivants mirent au point une terminologie française qui se situe à mi-chemin du traditionalisme suisse germanique et des novateurs américains. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture