La psychologie est la science des faits psychiques, de leurs lois et ce aux moyens de méthodes objectives de travail et d'analyse.
Par ses méthodes et ses objets, elle sert à comprendre le comportement physique et mental de l'individu au travers de son psychisme.
La psychologie est une discipline dans laquelle il est possible d'observer une pluralité d'approches. Ce n'est pas un domaine restreint au strict minimum. Au contraire, la psychologie est un domaine vaste mais bien défini, d'où un certain paradoxe, à la fois très grand et en même temps bien ordonné.
Compte tenu de sa diversité, la psychologie utilise différentes méthodes (expérimentales, cliniques, psychanalytiques…). Mais, elle a aussi différents objets, chaque branche de la psychologie va étudier un objet bien particulier (l'enfant, la psychosociologie…).
C'est dans l'étude de ces différents objets que l'on peut discerner le lien entre les différentes approches, puisque pour comprendre certains comportements un domaine psychologique peut s'appuyer sur des théories d'un autre domaine.
Chaque domaine a sa propre spécificité tout en s'appuyant sur les autres.
Il existe une pluralité des approches en psychologie car les objets qu'elle étudie son très divers cela présupposent des méthodes et des théories différentes qui spécifient chaque domaine.
Nous pouvons ainsi parler des psychologies, à l'intérieur desquelles nous pouvons distinguer des « sous-domaines », il faut noter que chaque branche à son propre cheminement mais elles se rejoignent sur certains points. Ainsi, lorsque nous étudions la théorie cognitiviste, nous avons à faire au traitement de l'information, donc à la physionomie, à ce qui véhicule l'influx nerveux, mais aussi aux sens, ce sont les sens qui vont apporter les informations nécessaires à ce traitement.
De cette manière, nous étudierons différentes approches de la psychologie comme la psychologie sociale, la psychophysiologie, la motivation, l'anthropologie cognitive, la théorie cognitiviste.
[...] Famose Temprado L'apprentissage moteur. Le bon fonctionnement d'une étape dépend de l'étape précédente c'est-à-dire que si une étape a mal été identifiée, il y aura une mauvaise sélection donc l'action ne sera pas bonne. Le système du traitement de l'information Ces étapes sont engendrées par des rétroactions. Une rétroaction est composée de l'information concernant le rendement ou un comportement observé et ses résultats. Elle est communiquée le plus rapidement possible suite aux comportements observés et vise à influencer les comportements futurs (Larousse). [...]
[...] Ils ne peuvent pas analyser une situation et la mettre en relation avec des choses dont ils ont déjà connaissances. C'est un défaut d'inhibition qui oblige le sujet à adhérer à la tâche prédéfinie, il ne peut pas choisir. C'est ce manque de flexibilité mentale qui rend leur adaptation d'autant plus impossible. Nous pouvons dire que le cortex préfrontal est lié à l'anticipation par le biais de la mémoire à long terme, et en même temps à une certaine souplesse comportementale, c'est-à-dire, l'adaptation à différentes situations. D'après O. Houdé, B. Mazoyer et N. [...]
[...] Elle évolue de la philosophie vers une psychologie c'est-à-dire une étude plus spécifique de l'individu. Sa différence avec les autres formes de psychologie est qu'elle ramène l'individu à l'environnement, au groupe dans lequel il vit. Cependant, on ne peut pas réellement séparer les différentes psychologies puisque chacune s'appuie sur les autres ou un domaine spécifique des autres. Par exemple, la psychologie sociale et la psychologie du développement se rejoignent, elles utilisent chacune des théories de l'autre. Puisqu'en ce qui concerne les facteurs sociaux de la psychologie de développement, à propos de l'enfant, on dit qu'il ne peut pas se débrouiller seul pour apprendre, il a besoin de quelqu'un pour pouvoir apprendre, y compris si cet apprentissage passe par un objet et d'autant plus car «l'objet va médiatiser sa relation à d'autres individus» d'après MOSCOVICI Serge repris dans La Psychologie sociale de ROUSSIAU Nicolas, donc cela est du ressort de la psychologie sociale en ce qui concerne l'interaction sociale et bien de la psychologie de développement pour ce qui relève de l'apprentissage. [...]
[...] La psychologie sociale diffère de la sociologie. La psychologie sociale utilise l'individu comme unité d'analyse principale, ainsi que des concepts psychologiques pour expliquer le comportement (motivation, attribution causale, perception, attitude, représentation sociale). Elle est aussi à la recherche de similitudes entre les gens d'une même culture dans le but de comprendre les comportements des individus pour améliorer leurs rapports les uns avec les autres. Elle touche donc les relations sociales. La sociologie étudie au contraire le comportement des personnes au sein d'une même société, surtout le comportement des personnes au sein d'une société par rapport à une autre (différence de culture). [...]
[...] Etre falsifiable c'est le caractère propre d'une théorie. Les théories permettent d'évoluer, de découvrir de nouveaux aspects, de nouvelles pistes d'études. En s'appuyant sur des théories qui évoluent, la psychologie ne se cantonne pas à un point de vue défini et arrêté, elle peut avancer et combler ses failles, et en découvrir de nouvelles. Nous pouvons ainsi parler des psychologies, à l'intérieur desquelles nous pouvons distinguer des sous-domaines il faut noter que chaque branche à son propre cheminement mais elles se rejoignent sur certains points. [...]
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