La sémiologie de la névrose hystérique : son origine et ses symptômes point par point, ses fantasmes et sa "guérison". Etude pour appui des cas de Dora et de Anna O., patientes hystériques de Freud. Un document de 3600 mots environ au format Word.
[...] Ex : je dors avec mon père ( exéma = traumatisme = symptôme Complexe d'Œdipe Fantasme Père Symptôme - trauma sexuel - répétition - pulsion Cause refoulée pour ne montrer que le symptôme On ne peut déceler la cause qu'en écoutant le sujet : mon erre n'a pas de peau (pot). Le rêve est un rébus (syllabe par syllabe) et nos successeurs ont commis la faute de vouloir l'interprété en dessin. L'interprétation et le sens sont d'avantage dans la dissociation de ce qui s'entend et de ce qui s'écrit. Qu'est-ce qui produit cette dissociation entre la langue et l'écrit ? C'est le désir : les rêves sont des rêves de désir. L'identification est le plus souvent utilisée dans l'hystérie comme une communauté sexuelle. [...]
[...] Il y a une dimension sexuelle dans tous traumas car on en revient toujours à la question de l'origine de la vie. Ex : trauma de la réalité un pédophile drague une gamine. Trauma psychique question de la femme, enjeu énorme par rapport à sa position de femme face à un homme qui la drague. C'est moins le contenu de la lettre qui est important, mais sa fonction d'énigme et de secret qu'elle représente. Cette question du secret touche et rencontre les dédalles de la sexualité. [...]
[...] Cela indique une orientation dans la pathologie mais ce n'est pas un pré diagnostique. Ecouter comment le patient se place par rapport à son corps est par contre essentiel. Le corps complète le langage. Ce qui est au fondement de la névrose, avec le refoulement, constitue l'opérateur à partir duquel doit être déployé la logique du symptôme et à partir de quoi doit s'orienter l'évaluation de la cause sans l'ensemble de la formation psychique et symptomatique. Le symptôme dit quelque chose, il devient à son tour langage malgré qu'il vient du corps. [...]
[...] Le signe fait signe d'une maladie en médecine. En patho, les signes ne peuvent pas être caractéristiques d'une maladie et en être le signe. La fonction et le sens du symptôme à l'intérieur d'une structure peut déterminer la patho. Freud caractérise l'hystérie comme étant une névrose de conversion : conversion d'un refoulement traumatique en symptôme somatique ( conversion de la psyché en somatique. Si cette conversion est possible, c'est le signe d'un refoulement : il faut qu'il y ait refoulement pour qu'il y ait névrose. [...]
[...] - L'oubli sincère : on peut vraiment oublier des choses. L'AL va surprendre le sujet : refaire surgir des choses oubliées. Cette parole trouée de l'hystérique va se rapiécer dans l'échange avec l'autre. - Le refoulement : l'amnésie. On entre dans l'intimité du langage et on s'oriente vers l'histoire de la patiente. Freud a accueilli la névrose en sortant de l'observation du corps et du diagnostique à partir des signes observés sur le corps ( sortie de l'observation. Il est aussi sorti de la psychose et de la folie pour s'intéresser aussi au mal être quotidien de la névrose. [...]
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