Ensemble de cours sur le registre névrotique.
[...] Ne jamais les prendre en dérision. Ne pas contrer les activités compulsionnelles du malade, mais tacher de les réduire progressivement. Ne pas se substituer au malade mais être pour lui l'aide rassurante qui lui permet de surmonter et de maitriser ses symptômes. Inciter le patient à participer aux activités de groupe et des taches concrètes L'hypocondriaque La relation avec l'hypocondriaque est délicate, car ce patient est toujours partagé entre le souci de ne pas être reconnu comme malade, et la crainte qu'on leur cache une maladie. [...]
[...] L'hospitalisation est recommandée dans les formes graves de la névrose hystérique. Elle permet l'isolement provisoire du patient de son entourage familial. On utilise de préférence des tranquillisants contre l'angoisse et les manifestations paroxystiques. Des tranquillisants anxiolytiques, comme le Tranxène, le Seresta, le Librium. Eviter de prescrire les sédatifs forts pour ne pas accroitre la symptomatologie. Les antidépresseurs dans les phases dépressives. Les antidépresseurs sédatifs lorsque l'anxiété prédomine (Laroxyl). Les antidépresseurs stimulants en cas d'asthénie ( Tofranil, Anafranil). Ces médicaments favorisent l'instauration de la relation psychothérapique). [...]
[...] Rôle infirmière L'anorexie mentale I. Introduction : L'anorexie mentale est la plus grave de perturbations des conduites alimentaires et elle exige un traitement spécifique. Elle survient le plus souvent sur une personnalité névrotique (elle fut initialement décrite en tant qu'une anorexie hystérique Elle survient presque exclusivement chez les jeunes filles, à la période post-pubertaire (entre 15 et 25). Des anorexies mentales méconnus ou traitées trop tardivement peuvent avoir une évolution fatale. II. Etude clinique : L'anorexie mentale se caractérise par trois symptômes essentiels : -L'anorexie -l'aménorrhée ; -l'amaigrissement Les symptômes : D'apparition progressive chez les jeunes filles n'ayant aucun antécédent pathologie. [...]
[...] Elles sont fixées à une partie du corps : symptômes hypocondriaques digestifs ou cardiaques. Les patients hypocondriaques sont souvent difficiles à vivre, car ils exercent une certaine tyrannie vis-à-vis les autres. Les troubles hypocondriaques sont souvent appelés des bénéfices secondaires du névrosé qui recherche et obtient beaucoup d'attention de la part des autres grâce à ses symptômes Troubles sexuels : Il y a toujours une inhibition sexuelle chez névrosé. Une diminution du désir sexuel. C'est l'impuissance chez l'homme et la frigidité chez la femme. [...]
[...] Le diagnostic se distingue d'une crise d'épilepsie par les éléments suivants : -Absence de chute brutale et traumatique ; -durée prolongée de plusieurs minutes ; -absence de miction involontaire ; -pas de manifestations typiques cliniques ; -l'EGG ne montre pas de traces de comitialité a.2 les crises syncopales : Le patient sent venir le malaise.il ne se blesse pas en tombant, la conscience n'est pas complément abolie et le patient se souvient de la crise. Pas de signes cardiovasculaires, qu'une légère bradycardie et une légère hypotension. L'EGG est normal. a.3 les crises tétaniques : Elles sont fréquentes dans la névrose hystérique, plus ou moins typique, mais elles sont rarement isolées. [...]
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