Psychopathologie, addiction, conduites à risque, dépendance, compulsion
C'est très diversifié et malgré cette étendue large il y a des traits communs.
- On la prise de substances (induire une modification de la conscience les drogues, alcool, tabac, etc.),
- Le domaine sexuel des IST (infections sexe trans.)
- Prise de risques dans le domaine routier (non-respect du Code de la route. Ne pas porter un masque peut favoriser la prise de comportements à risque),
- suicide et tentatives de suicide (diversifié selon le MO), toutes les conduites automutilatrices, les jeux dangereux (les jeux de défi, de strangulation),
- les technologies sont des moyens qui peuvent conduire à un une accentuation/renforcement des comportements à risque.
- Dans les sports ex : dopage. Sports dangereux qui induisent des sensations intenses (adrénaline, dop) et qui résultent chez quelques-uns un besoin d'aller encore plus loin.
- Conduites à risques de personnes qui prennent un traitement qui peut conduire à une dépendance.
Très diversifiée, mais début à une période précise, adolescence/préadolescence. On a des conduites de préparation, d'autres qui s'inscrivent dans le long terme. Dans les comportements à long terme, c'est un comportement qui se répète jusqu'au moment où il s'installe définitivement.
Toutes ces conduites apparaissent comme un problème majeur de santé publique. Une des difficultés majeures pour travailler sur ces conduites c'est leur polymorphisme, car c'est finalement difficile de pouvoir définir de manière équivoque ces comportements.
[...] Niveaux des approches psychothérapeutiques. Mesures institutionnelles à ne pas négliger, très importantes à mettre en place avec un cadre qui sera extrêmement bien délimité. Le cadre c'est la fréquence des séances, c'est la stabilité du cadre. Le cadre doit prendre une fonction de contenance et s'appuyer sur différents intervenants de manière à ce que le transfert ne soit pas massif. Donc approche pluri- focale. Le cadre des psychothérapies : Thérapies face à face qui s'inscrivent dans le maintenant, donc on vise à consolider la relation du patient avec la réalité. [...]
[...] C'est une pathologie féminine mais moins importante que l'anorexie. On retrouve 3 à 4 filles plus que les garçons. Taux de prévalence 1-3%. Et il semble que l'incidence de la boulimie soit en augmentation d'avantage dans les milieux socio-économiques moyens voire aisé. Dans 80% des cas elle commence avec des régimes qui sont plus ou moins prolongés et accompagné avec l'un des membres de la famille. Certaines commencent avec un épisode anorexique. La personne cherche à contrôler son poids par un régime puis assez rapidement ces comportements compensatoires vont devenir obsédants. [...]
[...] Recherche en 1997, Michel, travail dans la recherche de sensation. Bungee jumping, au début ça crée certaines sensations fortes, mais avec le temps on développe une tolérance donc on va plus loin. C'est des personnes qui sont plutôt anhédonique, donc il ya une recherche des sensations fortes par ces personnes pace qu'elles s'ennuyaient dans la vie quotidienne. La deuxième interprétation est que plus on s'expose régulièrement dans des situations qui induisent des éprouvés intenses, plus il ya un appauvrissement émotionnel de la vie. [...]
[...] C'est une idéalisation du geste parfait (comme chez les gymnastes), et cette idéalisation va favoriser une répétition incessante avec un sentiment d'incomplétude. C'est-à-dire c'est un mouvement qui échappe au sportif, donc la perfection n'est jamais atteinte. Les sensations musculaires internes peuvent conduire à des boulimiques du sport (comme dans le jogging). Se dépenser physiquement et psychiquement qui conduisait à une augmentation de la tolérance à la souffrance. Mais ça avait des conséquences physiques. Croyance que l'activité sportive est toujours bénéfique. Il ya donc des renforçateurs qui sont sociaux qui ne reconnait pas la pathologie du comportement. [...]
[...] Il ya création d'un micro-univers qui sera dédié à la satisfaction de ces satisfaction. Il ya tous les éléments de l'addiction : perte de control, déni qui masque un profond sentiment de culpabilité mais aussi une dimension dépressive importante. Critères de Coleman (il doit y avoir minimum : Le drag compulsive (draguer pour éviter de se confronter à un malaise intérieur, se rassurer) Autoérotisme compulsif. (ce n'est pas quotidien à 15 fois par jour conséquences sur le physique, fatigue, blessures) La fixation compulsive (sur un personnage ou personne avec des fantasmes important et une hyper-idéalisation de cette personne, délire de jalousie, érotomanie et des passages à l'acte agressifs) Rapports compulsifs multiples mais avec une insatisfaction. [...]
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