psychologie sociale, psychologie appliquée, dissonance cognitive, engagement, comportement
Dissonance cognitive : quand il y a une contradiction entre ce qu'on pensait faire et ce qu'on a fait. C'est un comportement dissonant.
Et pour faire face à cette contradiction, on va effectuer un travail interne, les individus vont essayer de changer, de faire face à cette dissonance, par exemple : rattraper le cours, se dire que le cours n'était pas si important… . On va ajuster le comportement à une nouvelle attitude, on va chercher des raisons qui sont consonantes avec nos attitudes.
Théorie de dissonance cherche à savoir comment les individus gèrent la dissonance, comment il va réorganiser son comportement cognitif après avoir émis un comportement contradictoire. Il y aura toujours un jeu entre comportement et attitude.
[...] Dans un comportement : il y a plusieurs éléments qui rentrent en jeux : des éléments de dissonance et de consonance. Dans le cas d'une dissonance, la théorie nous permet de prédire un changement de la cognition a. La visée de Festinger est de répondre à la question comment l'individu réorganise son environnement cognitif après avoir émis un comportement contradictoire à son attitude ? De plus, il prédit un changement d'attitude vis des processus de rationalisation. Expériences de soumission forcée. [...]
[...] La dissonance motive. Statut de la dissonance : dissonance motive + dissonance forte, + individu rengage s'engage dans une réduction de celle-ci (tend vers une consonance). Plus la dissonance est forte, plus l'individu va s'engage dans la quantification de la dissonance, dans un processus de réduction de dissonance. Il va vouloir la réduire. Il a donc, pour se faire quantifier la dissonance, il va la modéliser sous forme de taux. Le taux de dissonance : le taux de dissonance est donné par le rapport des cognitions dissonantes à l'ensemble des cognitions pertinentes (dissonantes et consonantes) et chaque cognition est pondérée par son importance. [...]
[...] Ils font six essais : 3 seuls en présence d'un autre concurrent. Résultats : les enfants enroulent plus vite le moulinet lorsqu'ils sont en présence d'autrui= facilitation sociale. Travaux d'Elton Mayo : Ils ont manifesté un intérêt pour les problèmes de terrain. On veut résoudre les problèmes de société. C'est un psychologue australien : il cherche à savoir la satisfaction du travail et la productivité. Et veut montrer le lien entre l'importance du groupe, le climat psychologie a une influence sur la motivation des travailleurs. [...]
[...] Mais cette psychologie naïve reste un peu inductive. L'individu ordinaire a une grande et profonde compréhension de lui-même et des autres, connaissances qui ; bien que formelle ou a pine évoquée, lui permet d'interagir avec les autres de manière plus ou moins adaptés ( La connaissance intuitive peut être remarquablement pénétrante et permet de bien progresser dans la compréhension du comportement humain Heider. On a besoin d'expliquer ce qui se passe dans notre vie. On va donc développer des connaissances, ce qui va permettre de prédire des évènements. [...]
[...] Donc pas explication. De même, pour lumière moyenne. Donc constat ce n'est pas la lumière qui est en cause dans le rendement, mais autre chose. Ce qui a de l'importance, c'est la présence du psychologue, qui a permis aux ouvrières de produire plus. Les individus observés étaient motivés parce qu'ils étaient observé et se sentaient appartenir à un groupe. Expérimentation de Kurt Lewin : Il postule que le comportement des comportements est influencé par ses traits de caractère, mais aussi par la situation. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture