Psychologie de l'attachement, Socialisation de l'enfant, Strange situation, Relation sociales des enfants, Conduite d'exploration du corps d'autrui, Les relations entre enfants d'âge différent, apprentissage social, Compétence sociale, Emotion chez l'enfant, Vallon, Répertoire émotionnel, Régulation des émotions, empathie, théorie de l'esprit
Socialisation de l'enfant : processus progressif et cumulatif par lequel l'enfant au cours de son développement assimile les comportements, valeurs, normes, codes, rôles, rites, coutumes, conventions et modes de pensée propre à l'environnement socioculturel. (Déf de Jalley et Richelle)
Tous ces éléments sont propres à un environnement social donné. Dans cette socialisation, on voit le rôle important des parents qui transmettent mais aussi le rôle de la société à travers l'école par exemple qui influe la socialisation.
La socialisation intervient dès la naissance.
[...] Chapitre 1 : La psychologie de l'attachement M. AINSWORTH ( théorie établie dans les années 1960. Un certain nb d'expérimentations pour aboutir à la théorie de l'attachement. BOWLBY va réfuter la théorie de FREUD qui disait qu'il y avait un investissement de la pulsion dans des zones érogènes. Il y avait des expressions de pulsions chez l'enfant. Il considère que l'attachement du bébé à sa mère est un besoin primaire qui correspond essentiellement au besoin d'être nourri. Le besoin d'attachement est inné et primaire. [...]
[...] Quand la mère est joyeuse l'enfant prend confiance. A 8 mois, selon SPITZ, le bébé va développer des émotions négatives vis-à- vis d'un étranger. La mère accueille l'étranger chaleureusement, l'enfant ne va pas développer de réaction de peur, contrairement à si elle l'accueille avec une expression de peur. A 1 an, il va ajuster son comportement en fonction des expressions de la mère. Il y a une aptitude à détecter les expressions de la mère. III. Régulation des émotions La régulation des émotions va dépendre en grande partie de l'entourage. [...]
[...] La théorie de l'esprit c'est l'aptitude à inférer que les conduites d'autrui sont provoquées par des états mentaux. C'est une aptitude qui suppose un certain nombre d'étape. Ça rejoint la psychologie naïve, qui repose sur une forme d'intuition. C'est attribuer à autrui des intentions, des croyances, des représentations mentales. Le sujet doit être capable de penser que l'autre pense aussi et on va lui imputer des états mentaux à partir desquels on pourra faire des prévisions sur son comportement. Cette construction va se faire à partir des interactions sociales. [...]
[...] Ce n'est pas une imitation, c'est une contagion émotionnelle. Au fur et à mesure que le nourrisson prend conscience de son individualité, il y aura moins de contagion émotionnelle, l'enfant prend ses distances. Détresse empathique : si un enfant voit un autre enfant pleurer, parce qu'il est tombé. L'enfant va aller se réfugier dans les jambes de sa mère pour aller se faire consoler, comme si lui même avait vécu la chute. Cette sensibilité a la détresse empathique de l'autre, procède d'une forme de pensée égocentrique, dans laquelle l'enfant éprouve les mêmes comportements, les mêmes expressions, la même douleur que celui qui est tombé. [...]
[...] Il s'est intéressé au développement de l'enfant dans un aspect différent de celui de Piaget (centrée sur les progrès intellectuel), il s'est intéressé dans un intérêt plus global. Il y a un rôle des milieux que fréquente l'enfant. Le 1er stade : stade de l'impulsivité motrice. Le 2ème stade : stade émotionnel. Se développe entre 3 et 12 mois. Il y a des émotions exprimées par l'enfant à travers le tonus musculaire (motricité, mouvement, variation posturale etc.). Les émotions sont indispensables à la survie de l'enfant. Il va attiré l'attention de son entourage grâce à ses émotions. [...]
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