La relation au corps ça va de soi (la vie de tous les jours). La relation que nous avons de notre propre corps et la représentation est issue d'un véritable travail de construction psychique.
C'est ce qu'on appelle la corporéité (façon d'habiter son corps, l'incarnation).
L'expérience vécu du corps à d'abord était le sujet d'étude en physiologie. Le raisonnement, par quoi passe l'expérience vécu du corps (...)
[...] La castration est un événement essentiel où elles sont humanisant à condition qu'elle reste symboligène. Chez Dolto, la castration est le processus qui s'accomplie chez un être humain, lorsqu'un autre être humain lui signifie que l'accomplissement de son désir sous la forme qu'il voudrait lui donner est un interdit par la loi. La castration est douloureuse mais elles sont nécessaires à conditions qu'elles soient posées par un adulte crédible, c'est-à-dire au bon moment est aussi dans le respect de l'autre. [...]
[...] L'adolescence face à son corps Travail psychique important qui se met en place pour devenir adulte, avec des exigences internes et externes, et la question est ce que c'est bon de devenir adule. L'adolescence serait en suspend du fait de l'inadéquation entre maturation génitale et psychique. A ce stade l'adolescent n'est plus tout à fait lui-même (enfant dans un corps d'adulte) se qui le situerait d'avantage comme un pré quelqu'un (Restemberg). On met 2 types d'exigences en évidence : Prendre son identité sexuel d'adulte et l'autre lié à un conteste socioculturel, projection dans l'avenir (dans le travail, et reproduction dans l'affiliation). [...]
[...] L'image inconsciente du corps va dépendre l'histoire de la famille. C'est une représentation mentale, inconsciente, représentation de soi dans son épaisseur, sa solidité et sa fragilité. C'est image du corps elle est propre à chaque individu, elle est unique, elle dépend de l'histoire familiale, des relations précoces, mais aussi de l'histoire libidinal. La façon d'être au mode, dépend de cette image inconsciente du corps. Au- delà du visuelle, tous les sens participent à la construction de cette image du corps. [...]
[...] Cela se développe au début pour les parties visibles. Après 2 ans l'enfant va passer beaucoup de temps à jouer devant le miroir, il arrête de faire la correspondance, on est d'avantage dans des jeux de confirmation. A partie de 2 ans et demi l'enfant est capable d'identifier verbalement l'image, à 3 ans le miroir commence à devenir utilitaire. De l'identification visuelle à la conscience de soi Peut-on réduire le développement de la conscience de soi de l'enfant à la construction de son identité physique ? [...]
[...] L'image de base, l'image fonctionnelle et l'image érogène. Ces 3 niveaux sont articulés entre elles, par ce qu'on appelle l'image dynamique. L'image de base : c'est la 1ère composante de l'image du corps, elle assure et consolide notre sentiment d'existence dans un monde sécurisant ou non. Elle correspond à la sensation que le corps repose sur un sol solide qui le contient, le supporte, c'est une image qui est vitale. Elle donne le sentiment de rester stable dans l'espace, de rester le même dans le temps. [...]
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