Psychologie clinique, pulsion, sexualité, théorie freudienne, Freud, arc réflexe, principe de plaisir, principe de constance, principe de réalité
Sigmund Freud écrit en 1915, "Pulsions et destins des pulsions" (petit texte).
Même si aujourd'hui, on peut dire d'une manière générale que la théorie freudienne commence à devenir un peu poussiéreuse, il faut admettre qu'elle a été novatrice en son temps et révélatrice pour son époque où on ne parlait pas de sexualité. Pour lui, la névrose est liée à du pulsionnel. Toute sa théorie s'appuie sur cette idée de l'énergie psychique qu'il appelle la libido et que Sigmund Freud rattache au pulsion sexuelle. Le névrosé peut être assailli de pulsions mais certaines sont mal vécu (culpabilité, angoisse,...). Il explique que toutes la société s'est construite sur un renoncement pulsionnelle.
[...] Le but du système nerveux est donc de mieux contrôler, gérer les pulsions et de ramener les tensions au niveau le plus bas possible. Sigmund FREUD définit la pulsion à partir de 4 concepts : La poussée : la pulsion possède un caractère poussant, elle nous pousse à faire quelque chose, elle nous met en mouvement. Le sport permet de canaliser cette poussée pulsionnelle. La poussée correspond au caractère moteur de la pulsion. Le but de la pulsion : la satisfaction. Le but est de satisfaire la pulsion. Et cela va passer par une diminution voire un arrêt temporaire de l'excitation. [...]
[...] Tant que la pulsion n'est pas satisfaite, il y a une tension extérieure. Plus cette pulsion augmente et donc la tension augmente plus cela est désagréable. La tension psychique est vécue comme du déplaisir. On a faim, on mange, on est bien. On est très en colère (pulsion agressive), tant qu'on n'arrive pas à exprimer cette tension, on la ressentira. Sigmund FREUD en déduit alors que continuellement, l'appareil psychique cherche à maîtriser, canalisé, contenir, la tension psychique, car lorsqu'elle est trop élevée elle est désagréable. [...]
[...] Cela se produit fréquemment lorsque la pulsion est satisfaite pour la première fois, une pulsion que l'on a depuis très longtemps, lorsqu'on la satisfait, le risque c'est qu'il y a une fixation sur l'objet de la fixation. La source : la source correspond à là d'où vient la pulsion. La pulsion vient du corps. Sigmund FREUD dit que la pulsion est d'une certaine manière un intermédiaire entre le corps et le psychique. Sigmund FREUD dit que la pulsion est une représentation psychique des excitations somatiques. [...]
[...] Pour lui, la névrose est liée à du pulsionnel. Toute sa théorie s'appuie sur cette idée de l'énergie psychique qu'il appelle la libido et que Sigmund FREUD rattache aux pulsions sexuelles. Le névrosé peut être assailli de pulsions, mais certaines sont mal vécues (culpabilité, angoisse . Il explique que toute la société s'est construite sur un renoncement pulsionnel. textes : Sigmund FREUD Totem et tabou L'avenir d'une illusion Malaises dans la culture ou malaise dans la civilisation Le pans (mettre partout) sexualisme freudien a été fortement critiqué. [...]
[...] Principe de réalité : on ne peut pas satisfaire ses pulsions quand on le souhaite. D'une certaine manière, ce principe est ce qui va nous empêcher de satisfaire certaines pulsions à un moment donné. Il est lié à 2 choses : on n'a pas accès à ce qui va nous permettre de satisfaire notre pulsion. Et, notre Surmoi va nous dire que ce n'est pas le moment. Mais si notre Surmoi est trop moralisateur/exigeant, on n'effectue que très peu de pulsion et donc on est frustré et de ce fait on ressent du mal-être. [...]
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