La loi du 18 janvier 1994 et le décret du 27 octobre 1994, ont permis aux détenus d'avoir le droit d'accéder à des soins comparables à ceux dispensés en milieu libre.
Avant cette date la santé des détenus relevait du contrôle direct de l'administration pénitentiaire. La loi n° 94-43 du 18 janvier 1994 dispose que les soins psychiatriques des personnes détenues placées auparavant sous la responsabilité des établissements pénitentiaires dépendent désormais du service public hospitalier (...)
[...] - Aux violences sexuelles Les pathologies courantes. Les pathologies les plus courantes sont : - Les troubles anxieux. - Les troubles dépressifs. - Les troubles dépendants. - Les troubles de l'impulsivité. - Les troubles de l'agressivité. - Les accès de colères Conclusion. Une nette évolution des soins de santé et de suivis psychologiques s'est fait ressentir depuis l'apparition de la loi et du décret du 18/01/1994 et du 27/10/1994. Beaucoup de détenus acquièrent une meilleure résistance face aux difficultés quotidiennes rencontrées, d'autres sont moins anxieux, moins colériques Cet accès aux soins de santé améliore considérablement la qualité de vie du détenu et de sa famille proche. [...]
[...] L'objectif d'un psychologue en milieu carcéral 4. Quels effets la réalité du milieu carcéral produit-elle ? 5. Quelles sont les difficultés quotidiennes vécues en milieu carcéral ? 6. Pathologies courantes Conclusions L'apparition de la loi La loi du 18 janvier 1994 et le décret du 27 octobre 1994, ont permis aux détenus d'avoir le droit d'accéder à des soins comparables à ceux dispensés en milieu libre. Avant cette date la santé des détenus relevait du contrôle direct de l'administration pénitentiaire. [...]
[...] Il existe aujourd'hui des centres médico-psychologiques dans des établissements pénitentiaires de grandes capacités. Ces services de psychiatrie sont rattachés à un établissement hospitalier (CHU, centre hospitalier régional ou hôpital psychiatrique) L'objectif d'un psychologue en milieu carcéral. L'objectif premier du psychologue, est de créer une attitude positive chez le détenu, de le voir comme un être humain et non comme un hors la loi. Le but est d'aider la personne à sortir de sa souffrance, de retrouver sa paix intérieure, de le préparer à l'après détention, de le libérer, de lui permettre de parler, de communiquer, d'expliciter ses conditions de vies et de son vécu, permettant ainsi de diminuer la souffrance morale et d'accepter la peine à purger dans le milieu carcéral. [...]
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