Psychologie clinique, psychopathologie, émotions, théorie de James-Langes, théorie de Cannon Bard, théorie de Schachter-Singer, théorie de Lazarus, modèle de Clark, psychophysiologie
Un dictionnaire définit généralement l'émotion comme une « réaction mentale consciente à un stimulus spécifique », se focalisant ainsi sur le sentiment subjectif de l'émotion.
En psychologie, l'émotion est plutôt comprise comme un tout incluant le traitement de l'information inhérente aux stimulus déclencheur, les transformations psychologiques (rythme cardiaque, sudation), le sentiment subjectif, et les expressions (faciales, comportementales).
Comme de nombreux concepts (ex. : l'intelligence, la mémoire), l'émotion ne fait pas l'objet d'un consensus quant à sa définition, mais une liste (même incomplète) permet de dessiner les contours du concept.
[...] Des fois appelé « étiquetage émotionnel » Exemple : le trouble panique -->trouble anxieux caractérisé par de violents accès de panique comprenant sentiment d'angoisse, bouffées de chaleur ou frissons, palpitations, tremblements, nausées, vertiges, des sensations d'étouffement ou de compression dans la poitrine, voire une dissociation. -->Trouble difficile à vivre car donne impression que crises déclenchent aléatoire : personne qui vit dans crainte permanente d'être touchées à tout instant par une autre crise Modèle de Clark : - perception situ comme menaçantes conduit enclenchement d'une spirale--> crise de panique - spirale peut également se déclencher par simple interprétation de sensation normales dans le corps - la thérapie consiste exposer patient à ces sensations et lui apprendre à ne pas les interpréter de façon catastrophique Théorie du stress de Lazarus : La place des capacités perçues d'ajustement d'après cette théorie, stress ressenti dépend de l'évaluation de la situation, mais aussi de sa capacité à s'ajuster aux demandes de la situation. [...]
[...] psycho, l'émotion est plutôt comprise comme un tout incluant le traitement de l'information inhérente aux stimulus déclencheur, les transformation psychologiques (rythme cardiaque, sudation), le sentiment subjectif, et les expressions (faciales, comportementales) -->Comme de nombreux concepts (e.g., l'intelligence, mémoire), l'émotion ne fait pas l'objet d'un consensus quant à sa définition, mais une liste (même incomplète) permet dessiner les contours du concept. Quelques émotions : -->sérénité, joie, euphorie -->irritabilité, frustration, colère, rage -->abattement, tristesse, mélancolie -->dégout -->surprise -->appréhension, anxiété, peur, terreur -->Honte, culpabilité, regret -->admiration Symptômes émotionnels des troubles psychologiques Presque tous les troubles sont caractérisés par des émotions particulières. [...]
[...] Ex : « réponse lutte-ou-fuite » : peu importe si on choisit de lutter ou fuir : accélération rythme cardiaque, augmentation pression sanguine, respiration rapide, dilatation pupilles, tension musculaire, ralentissement des fonctions digestives. Ces réactions préparent à l'activité physique -->Cannon et Bard concluent émotions pas produite réactions physiologiques, mais que réactions physiologiques et émotion = 2 conséquences de stimulus -->stimulus terrifiant puis changement physio et peur L'ère « psychophysiologique » de l'émotion en clinique -->Cette ère va changer la façon dont on voit l'émotion : mêmes si deux théories précédentes diffèrent, les deux ancrent émotion dans le corps conception sentiment subjectif comme une réponse du corps dont on peut moduler l'expression -->travaux de Mary Cover Jones sur le déconditionnement de réponses de peur/anxiété deviendront fondateurs L'ère cognitive La place des pensées dans l'émotion : psycho se tourne dans les années 50 vers la place de la cognition dans l'émergence des émotions Diverses théories et thérapies émergent dans ce cadre avec même caractéristique : contenu des pensées pour comprendre et/ou modifier le contenu émotionnel théories de Schachter-Singer et Lazarus considérées comme les 2 + importantes Théorie bifactorielle de Schachter-Singer -->théorie considère émotion comme produit 2 facteur : réactions physio et cognition (cad pensées, croyances, représentations, modes de raisonnement) -->quand on perçoit stimulus, vivons 2 changements physio que nous interprétons en fonction contexte : posons étiquette sur situ et ce qu'elle engendre en nous, et c'est là que contenu émotionnel émerge. [...]
[...] James et Lange : la théorie séquentielle de l'émotion James et Langes proposent théorie similaire : la cause des émotions serait les transformations physiologiques qui les accompagnent contredit la conception intuitive d'une émotion comme interprétation subjective qui va engendrer des sentiments puis sensation stimulus terrifiant puis changement physio puis émotion de peur on ressent une émotion parce que nous avons une réaction physiologique La théorie de James-Lange est devenue dominant au début du 20[e] siècle mais critiquée pas 2 physiologistes : Walter Cannon et Philip Brad. [...]
[...] La place des émotions en psychologie clinique et psychopathologie Que sont les émotions ? dictionnaire définit généralement l'émotion comme une « réaction mentale conscient à un stimulus spécifique », se focalisant ainsi sur le sentiment subjectif de l'émotion. [...]
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