personnalité, Carl Gustav Jung, traits de personnalité, ergodicité, tendances comportementales, théorie des humeurs
Dès l'antiquité, on a pensé qu'on pouvait décrire les personnes par des tendances personnelles (cf. théorie des humeurs). Il y a eu une remise en question de la notion de « traits » de personnalité. Cette notion a eu pendant plusieurs années une certaine importance, c'était la base de la description de la personnalité. Elle postule des tendances comportementales stables.
Michel Huteau a travaillé en psychologie différentielle de la personnalité, il a écrit des ouvrages importants et a défini le trait de personnalité comme un noyau de conduites cohérent et relativement stable.
[...] Epreuves projectives de la personnalité. Peuvent indiquer certains aspects de la personnalité. Hétéroévaluation des questionnaires de personnalité : On peut donner un questionnaire type Big five à des collègues, familles pour qu'ils répondent pour quelqu'un. Styles cognitifs Début 20e, les styles n'existaient pas comme un thème à part, ils étaient considérés comme faisant partie de la personnalité. Préférences stables dans le comportement, dimensions à voir avec un secteur de la vie spécifique : les tâches intellectuelles, en contexte scolaire ou professionnel. [...]
[...] Le MBTI est le questionnaire relatif à cette théorie. Michel Huteau a fait des études sur le MBTI, et a comparé des étudiants en psychologie et en gestion/management en psycho, le type (en licence) le plus observé est le INTP. En gestion, les étudiants de licence sont ESTP. INTP : brillant dans les sciences et les techniques, centres d'intérêts précis, ils ont besoin d'une profession où leurs intérêts les plus forts sont solicités (texte manquant). ESTP : personnes pragmatiques, aiment les objets mécaniques et les sports, aiment la compagnie des amis, plutôt scientifique, est au mieux de ses capacités avec les objets matériels pouvant être manipulé (texte manquant). [...]
[...] On a des styles potentiellement impliqués dans certains métiers. DépendanceIndépendance à l'égard du champ = style. Certains métiers privilégient l'indépendance à l'égard du champ et inversement. Dépendance = prise en compte d'informations contextualisées, tâches où il y a une forte dimension sociale. Depuis 1980, cette dimension a changé de nom. On parle aujourd'hui de différenciation psychologique. Avant on parlait uniquement du champ visuel. Style d'apprentissage, certains apprennent bien quand ils sont seuls. Style socialisant. [...]
[...] Puisque si les facteurs ne sont indépendants cela poserait problème. La facette impulsivité est corrélé négativement .42 avec N et corréle .32 avec extraversion et .35 agréabilité et .37 avec conscience. à Pourquoi ce résultat ? Modèle de base n'est pas bon, choix de 5 facteurs indépendants n'est pas le bon choix et il y a des sous facteurs, peut être des items dans la facette impulsivité ne sont pas de bons items pour cette facette travail pas abouti par Costa & McCrae. [...]
[...] La perception de Jung opposé au jugement. Aujourd'hui on conçoit cela comme un style cognitif. Perception (trait de source et Q3 (dimension de Jung) corrélé négativement. Facteur source qui compose les facteurs globaux. Big five OCEAN NEOPI Rolland a fait la version Française. D5D mesure les 5 facteurs, version ipsative du NEOPI. Norman & Goldberg ont eu l'idée d'un questionnaire en 5 facteurs dans la suite de Cattell. Le plus intéressant est d'étudier les facteurs globaux. CF. [...]
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