Il est en effet, impossible de traiter de façon élaborée toute l'information qui se présente à nous de façon simultanée et de ce fait l'attention sélective permet de sélectionner l'information à donner et éventuellement le type de réponse à fournir. Elle aboutit donc à :
- une meilleure clarté de l'information ;
- une meilleure efficacité de l'action éventuelle que suscite l'information qui a été prévue (exemple pratique de la vie quotidienne : deux personnes vous parlent au même temps) (...)
[...] Cette dernière qui est responsable de la dégradation de la performance d'observer dans les essais ultérieurs. Ainsi, pour les auteurs contrairement à l'estompage qui est un phénomène plutôt passif, l'interférence, un processus plus actif est fortement influencé par la similarité (ressemblance) des items utilisés dans la même expérience Synthèse: Partant de cette idée selon laquelle la cause première d'interférence proactive dans la tache de Brown- Peterson provient de l'utilisation d'items similaires dont les essais successifs faisant que les sujets qui ont poursuivi l'expérience avec les items différents, l'interférence proactive devait disparaitre par exemple. [...]
[...] Pour d'autres, comme Deutsch et Deutsch ainsi que Norman (1968), la sélection s'effectue à un niveau tardif dans le traitement. Cette sélection interviendrait après l'analyse sémantique, c'est - à - dire dans la mémoire de travail ou même lors de la réponse elle-même. Ainsi selon cette seconde catégorie de théorie, les informations pourraient atteindre un certain niveau perceptif d'identification ou de catégorisation sans nécessiter l'intervention de l'attention. En faveur de ces dernières théories tenantes de l'attention tardive, on sait que les stimuli non pertinents par rapport à la tache en cours, peuvent avoir une influence sur les performances. [...]
[...] Tous ces changements sont d'ordre sémantique, c'est dire ce qui est manipulé c'est la signification de ces stimuli en mémoire sémantique (MLT) et non par leur caractéristiques phonétiques du mot. Cours.3. L'oubli en mémoire à court terme Introduction: Il est important de déterminer le ou les mécanismes par lesquels l'oubli peut se produire en mémoire à court terme. C'est ainsi qu'on a pu détecter le processus susceptible de rendre compte de l'oubli en mémoire à court terme processus de l'oubli en Mémoire à Court Terme: L'interférence: L'oubli par interférence se produit parce que la mémoire à court terme possède une capacité de stockage limité. [...]
[...] Comme ces expériences peuvent être effectuées avec des mots, on a obtenu des résultats similaires (relâchement de l'interférence proactive) par le choix de mots associés à la nourriture, aux noms d'animaux, etc. On a pu identifier la même chose en changeant de langage, de mots féminins aux masculins, des mots concrets aux mots abstraits. Tous ces changements sont d'ordre sémantique, c'est dire ce qui est manipulé c'est la signification de ces stimuli en mémoire sémantique (MLT) et non par leur caractéristiques phonétiques du mot. [...]
[...] La capacité de la mémoire à court terme 1. Introduction: Les théories attentionnelles sont très nombreuses et difficiles à comparer. Cependant, à travers toutes ces théories un certain nombre de propriétés se dégagent chez la plupart des auteurs Propriétés de l'attention sélective: La sélection: Il est en effet, impossible de traiter de façon élaborée toute l'information qui se présente à nous de façon simultanée et de ce fait l'attention sélective permet de sélectionner l'information à donner et éventuellement le type de réponse à fournir. [...]
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