Situation du test projectif de Rorschach

Résumé du document

Article tiré d'une thèse de Doctorat en psychologie clinique sur le sujet des effets de la situation d'épreuve de Rorschach : La dimension projective.

Extraits

[...] Paris: Dunod. Rausch de Traubenberg, N. (2000). La pratique du Rorschach. Paris: Presses Universitaires de France. Rorschach, H. (1947). Psychodiagnostic. Paris: Presses Universitaires de France. [...]

[...] Situation du test projectif Plan : 1. Dimension projective du test de Rorschach: 2. Effets de la situation du test projectif 3. Projection de l'image du corps 4. Références : Situation du test projectif 1. Dimension projective du test de Rorschach: L'orientation projective, introduit une dimension nouvelle aussi bien pour le matériel du testing que pour la fonction du psychologue en tant que telle. Le test du Rorschach est conceptualisé en tant que technique projective. Les praticiens et les chercheurs se penchent sur l'analyse du contenu des réponses, et essayent de conceptualiser le matériel en termes de processus projectif. [...]

[...] Représentation de soi de la femme primigeste à terme à la lumière du test de Rorschach. Thèse de Doctorat en psychologie. Tunis : FSHS pages. Anzieu, D. (1980). Les méthodes projectives. Paris: Presses Universitaires de France. Rausch de Traubenberg, N ; Boizou, M-F. (2000). Le Rorschach en clinique infantile. [...]

[...] Le sujet testé est en effet, libre de ses réponses. Les consignes insistent souvent, surtout si le sujet vient d'en passer, sur la différence avec les tests d'aptitude, où le matériel présenté possède une structure latente de nature cognitive que le sujet doit découvrir, où il y a une bonne réponse. Au contraire, dans un test projectif, le sujet est libre de dire ou de faire ce qu'il veut à partir du matériel qui lui est présenté et du type d'activité qui lui est proposé. [...]

[...] Chabert (1983), Nul ne conteste aujourd'hui l'appel au corps sous-tendu par le test de Rorschach. Perceptivement, c'est la construction symétrique des planches autour d'un axe médian qui en justifie l'induction compte tenu de la similitude de cette organisation avec le schéma du corps humain (1983, p.66). En préface de l'œuvre de C. Chabert (1983), Didier Anzieu lui-même annonce que«le Rorschach ne nous renseigne que partiellement sur les fixations symbiotiques, narcissiques, préambivalentes et perverses polymorphes; par contre il est précieux quant au repérage des images du corps, des frontières du Moi, des enveloppes psychiques, réalités parfois négligées des psychanalystes (1983, XIII) Références : Alimi.M.L (2006). [...]