Histoire de la psychologie, Platon, Socrate, Aristote, Hippocrate, Pythagore, période scolastique, Roger Bacon, Guillaume d'Occam, épigénisme, Julien Offray de la Mettrie, Ebbinghaus
La psychologie est une science empirique. Longtemps associée à la philosophie elle est aujourd'hui intégrée dans les sciences humaines et sociales après un long périple pour se faire reconnaître. La psychologie au sens étymologique du terme désigne l'étude de l'âme et de la psyché. Le savoir se construit dans cette discipline de manière épistémologique, il peut donc y avoir plusieurs moyens de construire les connaissances.
Il existe deux approches en psychologie, l'approche clinique c'est à dire au chevet du patient et l'approche expérimentale et quantitative, c'est donc par l'expérimentation et les statistiques.
[...] Selon lui, la maladie est causée par un déséquilibre ou l'abondance d'humeur. Ainsi, les sanguins ont une abondance ou une rétention du sang, les colériques c'est la bile jaune, les mélancolique la bile noire et les lymphatiques la lymphe. Il n'y a plus de distinction entre les maladies organiques et celle de l'âme. Les causes physiques entraînent des troubles comportementaux. Il y a donc un changement radical sur la représentation des maladies mentales sauf sur l'hystérie qui reste une disposition mentale particulière tantôt constitutionnelle et permanente tantôt accidentelle et passagère qui porte certains sujets à présenter des apparences d'infirmité physique ou état de psychopathologie. [...]
[...] La physiologie cérébrale Paul Broca : il découvre le siège de la fonction du langage articulé avec l'étude du patient « Tan ». La perte du langage articulé est un symptôme. Carl Wernicke découvre l'air de la compréhension des mots. Wundt : la psychologie est en lien avec les sciences naturelles. Il s'intéresse à la perception et adopte l'approche naturaliste ce qui entraîne la quantification des processus psychologiques. Les protocoles sont standardisés, mais il n'abandonne pas l'introspection. Il fait l'aperception (les flux de la conscience, les capacités à prendre conscience qu'on traite une information). E. [...]
[...] Ainsi, l'univers est rempli de fluide servant d'intermédiaires entre les hommes, la terre et les planètes. La maladie est due à une mauvaise répartition des fluides, pour guérir, il faut les rééquilibrer les fluides. Louis XVI demande une enquête sur Mesmer qui révèle : -l'effet placebo - l'importance de l'imagination dans l'orientation psychique - il y a dépendance, transfert et transfert, contre transfert (inconscient). Mais certaines maladies sont sans lésions comme l'hystérie. Selon l'INSERM, l'hypnose a sur l'anesthésie locale des effets, elle permet de faire baisser la consommation d'antidouleur et sédatif. [...]
[...] - mise en sommeil de la raison : l'absence de la raison peut être une source possible de vérité. Un autre regard est porté sur la folie, il y a vœu de déraison et aliénation mentale. L'inadaptation, la marginalisation et la sensibilité extrême, et le goût pour le mystique sont de retour comme au Moyen-âge. - philosophie de la nature : la nature et les autres hommes sont unis, il y a sensibilité. Le Totalorganimus propose la nature et l'unité de la nature, c'est la philosophie de la nature et l'étude des forces qui la parcoure. [...]
[...] C'est le début de la psychologie cognitive. Mais, c'est aussi le siècle de l'illuminisme. L'omnipotence de la raison est contestée, laissant place au romantisme, car on ne peut pas tout découvrir avec de la raison. Le préromantisme célèbre l'exaltation des sentiments et la sensibilité (surtout la mélancolie). D. La seconde moitié du siècle ; préromantisme, quête de l'intime, autobiographie et introspection L'héritage des lumières a permis l'avènement démocratique, les valeurs de l'Homme et les revendications des « moi » ainsi que leur unicité. [...]
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