Histoire de la Psychologie française

Résumé du document

On assiste à une certaine vulgarisation de la psychologie. Malgré la souffrance, le thérapeute ne guérit pas. Il faut que le patient participe, qu'il le souhaite. Le + dur est de créer une relation avec le patient ; une relation de confiance. Ce n'est pas facile d'être psychologue. La psychologie n'est pas subjective (...)

Extraits

[...] Certaines branches vont devenir communes comme la folie avec la psychologie morbide. A la fin du La psychologie française est une psychologie pathologique. Mais elle ne va pas rester pathologique longtemps car elle va s'intéresser à d'autres sujets tels que la psychologie des foules et la psychologie individuelle. Au la psychologie est la psychologie expérimentale. L'un des psychologues est Ribot qui va reconnaître une continuité entre la normalité & le pathologique. - La pathologie va nous éclairer sur le fonctionnement normal. [...]

[...] L'un des grands centres de l'époque est Bicêtre ; à Paris. Politiquement, avant la Révolution, beaucoup de personnes ont simulé la folie ; c'était donc un bon moyen de savoir qui simulait ou pas. - Au naissance de la psychanalyse vers 1893. - Au développement de la pharmacologie efficace L'héritage philosophique. Le mot psychologie est apparu au mais ce n'était pas la même conception que maintenant : Elle était expliquée par la théologie. Aujourd'hui, ce sont des méthodes, des concepts & des pratiques. [...]

[...] C'est le courant psychologique qui va alimenter la philosophie. Ce courant est alimenté par Maine de Biran. Le spiritualisme va s'intéresser à la volonté, qui est au fondement de la connaissance de soi selon Maine de Biran. Il ne critique pas Descartes mais explique l'homme comme étant soumis à 2 registres : - Volonté suspendue, affaiblie : état organique. - Volonté entière : état normal. Quand la volonté est affaiblie, l'homme se retrouve soumis au fonctionnement de l'organisme. La méthode du spiritualisme est l'introspection. [...]

[...] Janet, (fin rencontre de vrais sujets. Donc sa méthode d'investigation psychologique s'appuie sur l'expérience avec des sujets qui le consultent dans le cas psychiatrique. Sa méthode est la méthode de psychologie pathologique : Rencontre d'un sujet malade et on énonce des lois qui concernent l'individu sain. Il ne veut pas supprimer directement le symptôme ; il s'intéresse à ses causes. Lorsqu'elles sont diagnostiquées, il s'attaque à la suppression du symptôme. Ce dernier évolue. Il s'intéresse également à la relation thérapeute / patient. [...]

[...] Le rationalisme & l'empirisme. Wolff au va distinguer une psychologie empirique (formulation de plusieurs hypothèses après l'observation dans une situation) qui se base sur du concret d'une psychologie rationnelle (l'inverse, hypothèses avant l'observation) niveaux : - Métaphysique : Rationalisme. - Psychologique : Empirisme. Les connaissances nous viennent de l'expérience & pas de Dieu comme le pensait Descartes. Ce courant a alimenté le courant positiviste incarné par Auguste Comte. Il va s'insurger contre l'introspection, qui est anti scientifique. C. Le spiritualisme. [...]