États limites, Jean Bergeret, psychose, Oedipe, névrose, psychiatrie, mécanisme psychotiques
Les états limites sont à part. le sujet présente une angoisse de "fond" et une multitude de symptômes "névrotiques" pourtant il n'est pas névrosé, la personnalité n'est pas organisée autour d'Œdipe, c'est une structure prégénitale.
[...] C'est ce qui donne les pervers narcissiques, ils contrôlent la présence d'autrui, teste le lien manipule la personne pour qu'elle reste sous contrôle. On parle de problème d'addiction (rappelons le, l'addiction est le besoin de s'ajouter quelque chose pour se sentir bien). Mais le plus important reste la nature de la relation avec l'objet. L'angoisse massive d'être seul est plus forte que Œdipe. Cependant les objets peuvent disparaître, le sujet n'a pas confiance en lui. Il met e place des défense pour se rassurer. La gratitude nourrit son amour propre, ces comportements nécessitent l'approbation permanente des autres. III. [...]
[...] Les états limites Les états limites sont à part. le sujet présente une angoisse de « fond » et une multitude de symptômes « névrotiques » pourtant il n'est pas névrosé, la personnalité n'est pas organisé autour d'Œdipe, c'est une structure prégénitale. I. descriptif des états limites Les névrosés ont l'impression de ne pas être à leur place, certains symptômes font ressentir cette angoisse. L'enfant n'a pas totalement renoncé à la place qui n'est pas la sienne. Cette problématique va perdurer et il va y avoir une espèce de revendication. [...]
[...] Le déni est un mécanisme psychotiques leurs permettant de remplacer leur propre réalité. Ils nient l'existence du sexe féminin et le remplace par n'importe quoi (enfants, animaux). IV. conclusion L'angoisse la plus massive est la perte d'objet. Les états limites veulent être performants quitte à écraser les autres. Ce sont des personnes narcissiques qui dès qu'il y a une séparation se trouve un objet ou tombe dans le suicide (dépression). Bergeret parle de régression psychosomatique qui conduit les personne à se détruire en se créant des maladies graves psychosomatiques. [...]
[...] Pendant le développement l'enfant va rester bloquer sur certaines problématiques, il va se développer mais le psychisme et la sexualité ne se développe pas bien à cause de ces blocages. L'enfant doit passer les conflits oraux et anaux ainsi qu'Œdipe. Avec ces conflits il apprend à accepter l'inaccessible, si les frustrations sont trop précoces i va être stoppé. Le psychisme reste bloqué entre la phase expulsive et rétentive. Les névrosés arrive à Œdipe et résolve plus ou moins bien ce conflit, c'est la lignée névrotique, elle marche aussi pour les psychotiques. Les états limites se bloque avant Œdipe. [...]
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