On distingue deux catégories de processus en ce qui concerne la fixation des informations en mémoire à long terme :
- les processus passifs qui sont liés au concept de la consolidation de la trace mnésique, c'est-à-dire qu'il faut qu'une information reste un minimum de temps en mémoire à court terme pour passer en mémoire à long terme.
- les processus actifs de fixation liés à l'organisation de l'information et au niveau de traitement de cette information. Ce processus renvoie à des stratégies mnémoniques (...)
[...] Le double codage nécessite donc du temps. Processus d'élaboration à l'encodage : le premier est lié à l'organisation des informations, plus l'information est structuré ou structurable et mieux elle est retenue. Le second repose sur la profondeur de traitement, la mise en place d'un traitement profond active le réseau sémantique correspondant et l'information est mieux mémorisée. Le troisième s'appuie sur le double codage, lorsqu'une information peut bénéficier d'un double codage elle est plus facilement retenue. La recherches des informations en mémoire à long terme Différences de recherches entre MCT et MLT : Expérience de récupération d'information en MLT (Clifton, 1962) : On demande au sujet de mémoriser des prénoms groupes de sujets avec des listes de prénoms différentes pour chaque sujet. [...]
[...] Cependant après l'opération le stimulus est aversif dans n'importe quel contexte. Il a fait une expérience identique mais cette fois en retirant l'amygdale : le stimulus aversif n'avait plus aucun effet. Ceci montre donc que ce serait l'amygdale qui serait responsable de la signification émotionnelle d'une situation. La fixation active des informations Ce processus de fixation active est un processus cognitif de traitement et d'organisation de l'information, on l'appelle d'encodage ou le codage. L'encodage consiste a mettre en place une relation entre l'information qui entre en mémoire et celles qui y sont déjà. [...]
[...] Il a entrainé des rats à se retrouver dans un labyrinthe pour chercher de la nourriture. Il a ensuite observé l'activité cérébrale de ces rats pendant le sommeil avant l'apprentissage, pendant l'apprentissage et pendant le sommeil après l'apprentissage. Grace à cela il a pu montrer que pendant le sommeil après l'apprentissage les zones actives du cerveau étaient identiques à celles observés pendant l'apprentissage. Il y aurait en fait une réactivation des représentations en mémoire au niveau neuronal pendant le sommeil. [...]
[...] La mémorisation du matériel serait meilleure lorsque le matériel peut être encodé à la fois de manière verbale et imagé (double codage). Expérience (Paivio et Csapo, 1971) : ils ont cherchés a montrer que les dessins faisaient l'objet d'un double encodage. Ils ont demandés à deux groupes de sujets de mémoriser une série d'items. Au premier groupe on présente une liste de dessins et au second groupe on présente les mots correspondant à es dessins en utilisant deux rythmes de présentation pour chaque condition ou 5 items par seconde). [...]
[...] Sans que le sujet le sache, les points vont apparaitre suivant un plan précis. Les chercheurs vont alors se rendre compte que les sujets mettront moins de temps pour appuyer sur la touche apprentissage procédural). Les chercheurs ont aussi enregistrés le débit sanguin des sujets lors de cet apprentissage, ils ont pu remarqués que cet enregistrement correspondait à l'enregistrement qu'ils ont fait la nuit suivant l'apprentissage : les mêmes zones étaient activées. Certains auteurs ont aussi pu remarquer que lorsqu'il y avait eu un apprentissage dans la journée, le sommeil paradoxal de la nuit suivante est beaucoup plus long. [...]
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