Adolescence : période relativement trouble. On l'associe souvent à des aspects négatifs. On parle de crise d'adolescence, de mal être chez l'ado, mais aussi de déviance chez les ados.
Ceci est négatif dans la représentation des gens, car il existe une forte restructuration dans le développement, dans laquelle beaucoup de chose s'organise sur le plan affectif, émotionnelle, donc sue le plan comportemental et social (...)
[...] Dans le groupe primaire, les gens se sont choisis entre eux. -Le groupe SECONDAIRE : les éléments constitutifs du groupe, ne sont pas choisis au départ. Les conflits intra groupes sont plus fréquents et dans le pire des cas, le groupe secondaire éclate en de petits groupes primaires (distinction quantitative). Du point de vue qualitatif : -Les groupes INFORMELS: ils ne reposent sur aucuns cadrages institutionnels, très souvent ils fonctionnent sans aucune autorité ni aucun adulte. Le sens critique y est très développé. [...]
[...] -Le poids de la boule. Un enfant à besoin de faire l'expérience pour répondre à la question, mais un adolescent n'en à pas l'utilité. En réfléchissant la dessus, cela veut dire qu'on est incapable de formuler des hypothèses, d'isoler des variables, et donc de réaliser des opérations logiques. Ex : Arnaud est plus grand que Pierre Arnaud est plus grand que Fred Qu'est ce que l'enfant apprend dans son raisonnement : le système combinatoire, où il y à l'implication. Ex : master mind. [...]
[...] Pour les adolescents, c'est centripète : c'est un processus interne, le seul intérêt c'est son soi. Ce retour au centripète, limite le potentiel cognitif. L'adolescent continu de raisonner sur sa propre logique et s'attend à ce que tout fonctionne ainsi. Le système théorique est lié à la morale. III / la puberté sociale et affective L'évolution des relations entre amis. Les motivations à l'égard du groupe des pairs (amis) se modifient au cours de l'adolescence. Il y a donc un engagement positif plus conséquent par rapport à l'enfance. [...]
[...] - pour les 19 ans. D'autres auteurs comme SCHIRCKS et LAROCHE, montrent que les populations adultes peu scolarisé, sont seulement de des adultes à fonctionner sur le stade des projets formels. Les travaux de SIEGLER au niveau du comptage chez l'enfant, propose un développement cognitif en terme d'élaboration de règles. Cela signifie qu'au fur et à mesure du développement, le sujet élabore des règles de plus en plus complexes. Ce sujet fait apparaitre des règles, notamment avec l'exemple du pendule : -Règle Le sujet considère une situation (règle) à la fois. [...]
[...] Les différences: Chez les filles, les attentes entre amies sont plus fortes que chez les garçons de même que leur attachement envers quelqu'un. Chez les garçons, les relations restent davantage centrées sur le plaisir de partager ensemble et sur le plaisir de faire des choses. Ce qui a de commun: Il y a de commun une hiérarchie à l'intérieur du groupe c'est à dire qu'il existe une relation entre des dominants et des dominés qui sont identiques selon les genres. [...]
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