Maladie somatique grave
- Gravité suffisante, pronostic vital engagé.
- Conservation de la conscience.
- Toute maladie avec risque mortel élevé (cancer, SIDA, greffes d'organes, maladies neurologiques graves)
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[...] 3 facteurs d'ajustement : Relié au cancer : stade de la maladie, site, fonct° symbolique, symptômes, pronostic, traitements, adaptation au quotidien Relié à l'aspect socioculturel Relié au patient lui-même : traits de personnalité, maturité émotionnelle, trauma, système de valeurs, ATCD maladie, relations environnement Différents facteurs d'ajustement qui rentrent en compte dans le vécu psychologique de la maladie cancéreuse : image sociale, sentiment de mort inéluctable, impossibilité de maîtrise de la maladie Facteurs d'agression: Somme d'agressions majeures sur le plan psychique et somatique Mise en place de défenses psychologiques Angoisse de mort : évènement personnel inscrit dans le parcours de vie du sujet Angoisse de mort : Effectivité ( n'est plus d'abstrait) Imminence ( n'est plus indéfini) Concernement personnel ( c'est le sujet qui va mourir) personne au fond ne croît en sa propre mort; dans l'inconscient, chacun de nous est persuadé de son immortalité S.Freud MSG : anxiogènes Imaginaire collectif > double de la mort Pas de représentation de la mort, non imaginable Opèrent sur le corps un travail de dégradation, d'envahissement interne > cadavérisation intimité avec la mort : Désinvestissement idéique et pulsionnel État de choc, panique, Obnubilation par la maladie Décalage entre corps idéalisé et réel Surtout si bcp de symptômes Excès d'excitations externes Effraction du pare - excitation Sidération des défenses État aigu > état chronique Fluctuations de l'angoisse en fonction de l'évolution de la maladie, des symptômes, de la personnalité du sujet Facteurs de stress psycho - sociaux Pas de lien entre le diagnostic précoce, les traitements, l'apparition et l'évolution de la pathologie Pas de lien entre évènements stressants et survenue de pathologie cancéreuse Pas de lien entre deuil, psychose, dépression, qualité de la gestion émotionnelle et cancer Qd survient la maladie Réactions variables : appréhension, déni, sentiment de rejet des autres, peurs Pas de nécessité de poser traitement pour l'humeur ( anti dépresseur, anxiolytique) Élaboration psychique du vécu de la maladie, processus de mentalisation Vivre avec un cancer Faculté d'adaptation : âge, personnalité, réactions aux épreuves précédentes, parcours de vie, qualité relationnelle familiale, professionnelle Force de l'entourage : Rythme différent pour chacun ( angoisse) Sentiment de culpabilité: inutile, incapable d'aider Crainte d'un facteur héréditaire Redistribution des rôles Réajustements réguliers en lien avec évolution maladie Remise en cause de situations sociales professionnelles Troubles les + fréquents : Anxiété : irritable, hyperactif, replié Palpitations, malaises, rumine les mêmes idées, troubles de la concentration Dépression : perte d'appétit, du sommeil, des motivations, renoncements, sentiments d'inutilité ou culpabilité, grande tristesse Diff. [...]
[...] Comment le patient se situe par rapport à son cancer ? [...]
[...] adaptation > Troubles psychiques, comportementaux, émotionnels Affects dépressifs et évolution maladie Désinvestissement pulsionnel face aux objets Centration sur le corps Angoisses de dévoration interne, clivage Angoisse de pertes des fonctions selon l'organe atteint Ocean Facteurs psychologiques et cancer Maladie somatique grave Gravité suffisante , pronostic vital engagé Conservation de la conscience Toute maladie avec risque mortel élevé ( cancer, SIDA, greffes d'organes, maladies neurologiques graves) Pas de lien entre névrotisme, dépression, deuil, trauma, et survenue d'un cancerImportant de rester centrer sur le discours du patient sur son cancer Facteurs d'ajustement ( coping) : Quels sont les facteurs de vulnérabilité du sujet malade ? [...]
[...] adaptation > Troubles psychiques, comportementaux, émotionnels Affects dépressifs et évolution maladie Désinvestissement pulsionnel face aux objets Centration sur le corps Angoisses de dévoration interne, clivage Angoisse de pertes des fonctions selon l'organe atteint Troubles + rares Confusion mentale: perception confuse du sujet sur lui-même, désorientation temporo - spatiale,troubles mémoire Troubles psychotiques : rupture avec la réalité, désorganisation de pensée et du discours, difficulté à communiquer Troubles parfois en rapport avec localisation de la tumeur ou traitements Hospitalisation : Angoisse : perte des repères spatiaux temporaux habituels, de l'identité Paramètres bio perturbés les 1ers jours Diff à définir l'origine des douleurs Chirurgie : Intrusion, pénétration, effraction de l'enveloppe corporelle protectrice Sentiment de vulnérabilité Peurs : anesthésie générale, séparation avec les proches, avoir à faire à un inconnu, se réveiller encours d'intervent°, corps reste endommagé, séquelles Réactions pour types de chir. [...]
[...] 3 facteurs d'ajustement : Relié au cancer : stade de la maladie, site, fonct° symbolique, symptômes, pronostic, traitements, adaptation au quotidien Relié à l'aspect socioculturel Relié au patient lui-même : traits de personnalité, maturité émotionnelle, trauma, système de valeurs, ATCD maladie, relations environnement Différents facteurs d'ajustement qui rentrent en compte dans le vécu psychologique de la maladie cancéreuse : image sociale, sentiment de mort inéluctable, impossibilité de maîtrise de la maladie Facteurs d'agression: Somme d'agressions majeures sur le plan psychique et somatique Mise en place de défenses psychologiques Angoisse de mort : évènement personnel inscrit dans le parcours de vie du sujet Angoisse de mort : Effectivité ( n'est plus abstraite) Imminence ( n'est plus indéfinie) Concernement personnel ( c'est le sujet qui va mourir) personne au fond ne croît en sa propre mort; dans l'inconscient, chacun de nous est persuadé de son immortalité S.Freud MSG : anxiogènes Imaginaire collectif > double de la mort Pas de représentation de la mort, non imaginable Opèrent sur le corps un travail de dégradation, d'envahissement interne > cadavérisation intimité avec la mort : Désinvestissement idéique et pulsionnel État de choc, panique, Obnubilation par la maladie Décalage entre corps idéalisé et réel Surtout si bcp de symptômes Excès d'excitations externes Effraction du pare - excitation Sidération des défenses État aigu > état chronique Fluctuations de l'angoisse en fonction de l'évolution de la maladie, des symptômes, de la personnalité du sujet Facteurs de stress psycho - sociaux Pas de lien entre le diagnostic précoce, les traitements, l'apparition et l'évolution de la pathologie Pas de lien entre évènements stressants et survenue de pathologie cancéreuse Pas de lien entre deuil, psychose, dépression, qualité de la gestion émotionnelle et cancer Qd survient la maladie Réactions variables : appréhension, déni, sentiment de rejet des autres, peurs Pas de nécessité de poser traitement pour l'humeur ( anti dépresseur, anxiolytique) Élaboration psychique du vécu de la maladie, processus de mentalisation Vivre avec un cancer Faculté d'adaptation : Age, personnalité, Réactions aux épreuves précédentes, parcours de vie, Qualité relationnelle familiale, professionnelle Force de l'entourage : Rythme différent pour chacun ( angoisse) Sentiment de culpabilité: inutile, incapable d'aider Crainte d'un facteur héréditaire Redistribution des rôles Réajustements réguliers en lien avec évolution maladie Remise en cause de situations sociales professionnelles Troubles les + fréquents : Anxiété : irritable, hyperactif, replié palpitations, malaises, ruminations, troubles de la concentration Dépression : perte d'appétit, du sommeil, des motivations, renoncements, sentiments d'inutilité ou culpabilité, grande tristesse Diff. [...]
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