La psychologie des organisations recouvre une multiplicité des situations au travail. L'organisation et ce qui englobe les groupes mais qui est régie par une raison sociale identique. L'organisation est un système organisateur de groupes, donc c'est une notion plus complexe que celle de groupe.
Le groupe a des limites bien distinctes : la capacité d'interaction face-à-face. Dans le groupe restreint doit perdurer la possibilité face-à-face. La question de la coordination de groupe : organisation, phénomènes organisationnels (...)
[...] La culture est importante mais on envisage sous le déterminisme. L'auteur reprend l'importance de la culture mais en tant que facteur résultant, en tant qu'enjeux. Il y a rencontre, confrontation entre des cultures différentes, qui aboutit à des cultures locales plus ou moins marquées, plus ou moins spécifique. L'activité de travail est une activité de production de sens, toute organisation est en interaction avec l'extérieur et participe de la définition des valeurs centrales d'une société. L'individu, par la médiation de l'organisation, devient un individu historique (cf. [...]
[...] Lewin et Moreno avaient déjà perçu cela, mais ici il s'agit de l'inclure dans une perspective systémique. C'est un constat difficile à prendre en compte, il est quasi-impossible de réguler le changement dans tous les registres. De plus on intervient rarement en amont du changement, essentiellement après, lors de la réparation L'analyse stratégique Crozier et Friedberg Elle reprend les principes de base de l'analyse systémique : l'organisation est un système ouvert. Ici, contrairement à l'approche rationaliste classique, l'individu au travail est un acteur du système. [...]
[...] Gestalt : le tout est différent de la somme des parties) ; l'objectif de chaque composante est de satisfaire les besoins de l'organisation (on a une critique radicale de l'approche fonctionnaliste : entité qui fonctionne pour elle-même, alors qu'ici, la rationalité est intérieure et extérieure donc toujours en mouvement, elle doit s'adapter sans cesse de la certitude extérieure) ; chaque sou système est régi également par autre chose que lui- même. Le modèle de l'organisation comme système ouvert : Trist - Emery (Tavistock Institute) Une organisation est une interface (entre les entrées et sorties). environnements Les activités de l'organisation sont les transformations des entrées en sortie. Toute organisation a besoin de gérer des flux d'entrée (finances, matières premières, individu) il y a donc exigences des relations avec l'environnement. [...]
[...] La philosophie contemporaine contribue à alimenter les problématiques du pouvoir dans les organisations. Comment à partir des conceptions du pouvoir, s'organise l'action de décision, le choix, qui prend les décisions, commencent s'opérationnalise cette prise de décision ? Apport des théories culturelles sur la question du pouvoir Renaud Sainsaulieu, sociologue contemporain de Crozier, se séparer de lui par une approche théorique culturelle. Il leur notamment question l'approche stratégique ne veut ajouter la dimension culturelle. Pour lui au sein les organisations, c'est une quête identitaire qui se joue toute organisation doit produire pour les acteurs de l'identité personnelle et sociale, notamment l'organisation professionnelle. [...]
[...] Le pouvoir est toujours relatif aux interactions dans l'organisation. Par le jeu autour de la formation, chacun peut jouer une certaine part de pouvoir, ce qui rend le fonctionnement de l'organisation toujours un certain. Circulation de la formation : en fonction de la place dans les réseaux d'information, les acteurs d'une organisation sont placés devant des ressources déséquilibrées. Par le jeu de rétention ou les discussions, ils vont pouvoir modifier leur propre influence en jouant sur la pertinence de la formation et le moment où ils l'échangent. [...]
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