Dissonance cognitive, engagement, psychologie sociale, démarche naïve, démarche scientifique, comportement cognitif
Dissonance cognitive : quand il y a une contradiction entre ce qu'on pensait faire et ce qu'on a fait. C'est un comportement dissonant.
Et pour faire face à cette contradiction, on va effectuer un travail interne, les individus vont essayer de changer, de faire face à cette dissonance, par exemple : rattraper le cours, se dire que le cours n'était pas si important… . On va ajuster le comportement à une nouvelle attitude, on va chercher des raisons qui sont consonantes avec nos attitudes.
La théorie de dissonance cherche à savoir comment les individus gèrent la dissonance, comment il va réorganiser son comportement cognitif après avoir émis un comportement contradictoire. Il y aura toujours un jeu entre comportement et attitude.
[...] Ce sont des croyances naïves. Origine de ces croyances naïves : Informations non scientifiques : Elles doivent provenir d'une certaine autorité : média, personne spéciale (populaire, attirante, statut social élevé, amis, livres, nous-mêmes Stratégies d'inférence biaisées : Evaluation de l'apparition des évènements, biais de présomption (c'est le fait de penser que nos explications/ suppositions, sont toujours plus correctes qu'elles ne le sont en réalité), erreur fondamentale, stéréotype Et plus nos disposons d'information, plus on va se baser sur notre jugement pour expliquer un comportement. [...]
[...] Donc constat ce n'est pas la lumière qui est en cause dans le rendement, mais autre chose. Ce qui a de l'importance, c'est la présence du psychologue, qui a permis aux ouvrières de produire plus. Les individus observés étaient motivés parce qu'ils étaient observé et se sentaient appartenir à un groupe. Expérimentation de Kurt Lewin : Il postule que le comportement des comportements est influencé par ses traits de caractère, mais aussi par la situation. Il ne faut pas seulement tenir compte de la personnalité, mais tenir compte du contexte dans lequel il se place, soit de la situation. [...]
[...] C'est une connaissance relatives à soi et au monde, opinion, croyance, conduite comportements. Comportement : c'est une cognition génératrice. Il y a une implication psychologique entre les deux cognitions : attitude et comportement. On va parler soit de lien de consonance entre les deux cognitions. Dans la vie de tous les jours on a besoin de cette consonance. Cf schéma consonance. Mais on peut être en situation de dissonance. Dissonance : c'est un état pénible du à la présence simultanée de deux cognitions contradictoires, donc inconsistantes. [...]
[...] La dissonance motive. Statut de la dissonance : dissonance motive + dissonance forte, + individu rengage s'engage dans une réduction de celle-ci (tend vers une consonance). Plus la dissonance est forte, plus l'individu va s'engage dans la quantification de la dissonance, dans un processus de réduction de dissonance. Il va vouloir la réduire. Il a donc, pour se faire quantifier la dissonance, il va la modéliser sous forme de taux. Le taux de dissonance : le taux de dissonance est donné par le rapport des cognitions dissonantes à l'ensemble des cognitions pertinentes (dissonantes et consonantes) et chaque cognition est pondérée par son importance. [...]
[...] Condition hypocrisie : maintient de l'intégrité de soi : je suis sur que vous respectez les limitations de vitesse même procédure. Condition contrôle : engagement normatif, présentation de la requête cible. Voir schéma : diapo 161. Expérience : sécurité routière : de la déclaration de libéré dans le paradigme de l'hypocrisie induite. Plus on a le choix, plus le pourcentage d'acceptation est élevé. Effet principal : effet de la saillance de transgression sur l'acceptation de l'éthylomètre. Voir diapo 166. Le contexte de liberté joue un rôle dans le paradigme d'hypocrisie. [...]
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