On a du mal à imaginer des concepts humains qui séparent individu et société. Ces rapports sont l'objet de la psychologie sociale. D'un point de vue historique, il y a toujours eu opposition entre 2 traditions.
Approche psychologique : des individualités forment un système. On note des excès dans cette approche qui a tendance a penser l'individu comme une réalité en soi CAD dans un contexte de vide social sans structure dont il pourrait être dépendant (...)
[...] On a sûrement une combinaison avec la menace du stéréotype. Par rapport au maintient de l'estime de soi (désengagement) un passé scolaire chaotique et ceux qui sont sur un processus de désengagement sont aussi les plus sensible sà cet effet pygmalion. CAD que les enfants ayant le moins de ressources sont les plus sensibles à cet effets, il y aurait une vulnérabilité. En terme de recherche, ceci pose la question plus générale de l'existence des capacités de l'élève. Ainsi faire une évaluation cognitive et compte rendu question qui se pose de ce que l'on mesure vraiment : je rencontre une personne à un moment or mesure t'on ses vraies capacité compte tenu des études sur les effets pygmalion ? [...]
[...] De même cette approche pense le psychisme comme une substance à localiser en terme de structures cérébrales qui expliqueraient le comportement CAD avec une vision biologisante, or les fonctions cérébrales ne sont pas en toute objectivité responsable de phénomènes tels que le terrorisme. approche sociologique : des structures sociales influencent les individualités Or on sait que certain font preuve de rebellion (ex Milgram) : la structure ne détermine pas l'individu dans son ensemble, il a sa propre intégrité et liberté. La psychologie sociale va venir combler ces lacunes que des modèles tels que ceux-ci soulèvent. De ce fait cette discipline va effectuer un va et vient incessant entre individu et société. [...]
[...] La psychologie sociale européenne est actuellement en train de remettre en cause certains postulats : - remise en question de la rationalité de notre mode de fonctionnent. - On construit nos connaissances pour la maîtrise de l'environnement. On s'aperçoit que bien souvent, il y a beaucoup de façon de maîtriser l'environnement : relation de pouvoir, de séduction, d'obéissance Ces moyens ne sont pas rationnels bien qu'ils soient très efficaces. - la valeur de vérité : on de mande pas aux connaissances que l'on produit d'être vraies mais d'être utiles à l'action ; pour servir le juste notion d'acceptabilité sociale. [...]
[...] Lewika 95 se demande s'il y a un biais qui serait un dénominateur commun : on parle de méta-biais. Pour elle, ce serait notre difficulté au quotidien à penser les choses en utilisant les causes nécessaires (interaction de causes non suffisantes). On choisirait une cause que l'on estime suffisante pour expliquer l'événement. On privilégie des explications mono-causales suffisantes par économie cognitive. Alors que les conceptions de la psychologie sociales étaient très cognitive, on assiste à une : Réhabilitation du social Il va s'agir de moins s'intéresser aux processus mais plus au sujet. [...]
[...] Norme : - Ce qui est désirable, acceptable socialement, ligne de conduite à suivre. Concerne les opinions mais aussi les conduites. - De même c'est toujours l'expression d'un collectif, c'est quelque chose de partagé même si intériorisé au niveau individuel. - Enfin, ceci fait l'objet d'un apprentissage social (intériorisé progressivement par l'enfant, appris au cours de la socialisation). Jusqu'à 12 ans, on a des comportements altruistes plus que chez l'adulte (comportement d'aide à autrui) cad qu'ils ont à l'âge adulte intériorisé. [...]
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