La mémoire du point de vue de la psychologie clinique

Résumé du document

Cours de psychologie ayant pour sujet la mémoire du point de vue de la psychologie clinique. L'objectif est de comparer les perspectives expérimentales et psychanalytiques quant aux notions de mémoire et d'oubli. Un cours rédigé de treize pages au format Word.

Extraits

[...] Jugement dernier : Œuvre de quel peintre ? Idée de mort, d'où idée : - de raconter auparavant au compagnon de voyage de Freud la résignation des Turcs face à la mort (c'est un médecin connu de Freud qui le lui a rapporté). Le médecin lui dit aussi que les gens en question appellent le médecin Signor : Seigneur. Pointe le début du nom oublié (association). Mot qui renvoie à un autre - Gênante et Freud n'en a pas parlé à son compagnon de route. [...]

[...] C'est en ce temps que se mettent en place les différentes organisations névrotiques ou perverses selon les mécanismes défensifs privilégiés. La mise en place du refoulement originaire est une condition nécessaire pour qu'il y ait névrose ou perversion. - Retour du refoulé C'est seulement avec la 3ème phase du refoulement, appelée par Freud le retour du refoulé, qu'apparaissent les symptômes névrotiques. Dans les perversions, mise en scène concrête de ce qui est refoulé, de son conflit psychique ; réalisation des fantasmes dans la réalité. [...]

[...] Il y a une différence entre : - une structure de base et - la décompensation qui peut s'en suivre. On peut parler de psychose comme structure de base d'une personnalité. Psychose ne rime pas forcément avec pathologie grave. Dans la psychose, il ne peut être question de retour du refoulé dans la mesure où le refoulement originaire n'a pas pu se mettre en place. Le Nom du père ne vient pas s'intercaler en ne mobilisant pas cette question de l'être à l'avoir. [...]

[...] L'implication du chercheur est considérée a priori comme nulle et sans incidence sur le procédé et les résultats. Du coup, ce qui est évacué, c'est la dimension du sujet. Le sujet, ce n'est pas l'individu, la personne, l'homme. Ce n'est pas parce qu'on a un homme en face de soi qu'on n'exclut pas la subjectivité. Toute manifestation subjective imprévue et singulière, qu'elle vienne de l'objectif observé ou de l'observateur, est déconsidérée voire rejetée au profit de données objectivables. Pavlov voulait éliminer cette dimension pour avoir de l'objectivité. Le chien de Pavlov n'est pas un être humain. [...]

[...] Remplacement de la psychanalyse par les neurosciences. - Des neuropsychologues, neuroscientifiques et des psychanalystes cherchent une jonction, une discipline qui lierait les 2. Ce serait une sorte de neuropsychanalyse : Thérapie psychique qui se fonderait sur des théories scientifiquement prouvées. - Des psychanalystes (surtout Lacaniens) pensent que les neurosciences et la psychanalyse sont fondées sur des logiques différentes. Ces 2 champs ne peuvent s'englober, même s'il y a des points de jonction. C'est la position que le prof soutient. Psychanalyse Neurosciences. [...]