Cours de psychologie sociale structuré, précis (études, expériences, ...) et détaillé. Il aborde le concept de soi, le moi, la comparaison sociale, le jeu de rôles, le sentiment, l'estime et la conscience de soi.
[...] Ces échelles mesurent aussi les estimes de soi des individus qui appartiennent à des groupes différents. Cela permet de saisir dans quelles mesures les faits sociaux (perte d'emploi, exclusion . ) peuvent affecter l'estime de soi de l'individu. Quand les individus se trouvent en situation d'échec scolaire ou de chômage, les situations ont une influence importante dans l'estime de soi. L'estime de soi dépend aussi d'autres facteurs comme les aspirations de l'individu ou de l'approbation sociale ou même la capacité à maîtriser les choses. [...]
[...] La conception de soi dépend de la comparaison aux autres. IV) Le jeu de rôles Le jeu de rôle se définit quand nous prenons une position différente de celle que l'on a dans le privé. Ces différents rôles nous influencent, influencent ce que nous sommes. ( Gergen et Taylor ont fait une étude, en 1966, auprès d'étudiants dans leur salle de cours. Les étudiants ont fait un test d'estime de soi. Un mois après, la moitié de ces étudiants vont être soumis à une situation de jeu de rôle dans laquelle ils devront s'imaginer devant un employeur potentiel qu'ils devront convaincre, vantant leurs qualités. [...]
[...] De même, pour les gens qui appartiennent à notre groupe de préférence, on considérera davantage l'image qu'il renvoie de nous plutôt que celle que renvoie un groupe extérieur au notre. Ce moi en miroir va faire qu'on va intérioriser l'image que les autres nous renvoient de nous-mêmes. Cela a des incidences sur notre concept de soi et sur nos comportements. Théorie du LABEL : On va devenir ce que les autres disent que nous sommes. ( Expérience menée par Miller, Brickman et Bolen (1975). [...]
[...] On bénéficie de la positivité ou négativité du groupe. Citation : Se donner aux rayons de la gloire d'autrui On va subir les effets du succès ou des échecs de notre groupe et par conséquent, on va se sentir valorisé ou dévalorisé en fonction de la situation. Les personnes représentatives d'un groupe donné sont appelées personnes alibi dans la mesure où les gens de leur groupe s'imprègnent de leur positivité ou négativité, succès ou échec. III) La comparaison sociale Festinger en 1954 a étudié le concept de références évaluatives selon ce concept, individus s'évaluent par rapport aux autres. [...]
[...] En bon s'il se sent aimé, valorisé, et en mauvais s'il se sent rejeté et dévalorisé par sa mère. Ce concept de positivité et négativité créerait des prédispositions individuelles orientées vers l'amour de soi ou la haine de soi. Les 6 premières années de l'enfance sont prédominantes dans la création d'un moi bon ou mauvais. La conception de soi serait sujette, tout au long de la vie, aux relations avec les autres, même s'il y avait une base stable de cette conception. [...]
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