Comprendre les maladies mentales, de la normalité au pathologique, classification internationale des maladies, diagnostic des troubles mentaux, Freud, psychopathologie, théorie de Henri Ey, théorie du milieu, théorie organo-mécanisistes
La psychopathologie désigne le discours sur la souffrance, l'âme (et donc du patient). Le psychologue se place alors toujours du côté du patient, il écoute la souffrance psychologique et les angoisses. Par exemple, en cas de phobies, c'est-à-dire la peur d'être confronté à un objet ou une situation, le psychologue détermine si elle est pathologique ou non. Si elle est pathologique, c'est que le patient lui-même le dit, il a peur de sortir ou alors l'objet de la phobie influence sa vie. Mais alors qu'est-ce que la normalité ? Que représentent les maladies ?
[...] L'enfance peut expliquer l'adulte, quand l'individu est bébé il dépend entièrement de la mère (qui n'est alors qu'une fonction). • Le premier plaisir dans l'enfance est la nourriture, avec le reflexe de succion le bébé prend du plaisir, c'est indépendant des activités substantives. On parle de plaisir sexuel sans but reproducteur (c'est une sexualité psychique). Selon Freud la sexualité infantile prédit l'adulte, elle à un but reproducteur. Lacan, pense que la sexualité est juste la pour le plaisir. Pour comprendre la différence entre l'homme et l'animal il faut s'intéresser aux pulsions. [...]
[...] Il est possible de trouver une équivalence aux pulsions sexuelles grâce à la sublimation (c'est à dire remplacer une activité jugé immorale par la société par une autre plus morale). Les pulsions peuvent aussi être retourner en son contraire, par exemple on peut remplacer la haine par l'amour. En conclusion , la psychopathologie tend à comprendre le fonctionnement du patient. Le devoir du psychologue est d'être au côté du patient. Plusieurs théories permettent de comprendre quels facteurs influencent ou non le sujet. Les classifications sont là pour servir d'outil dans le diagnostique du patient. Mais attention, il n'existe pas de frontière entre le normal et le pathologique. [...]
[...] Comprendre les maladies mentales, de la normalité au pathologique. La psychopathologie désigne le discours sur la souffrance l'âme (et donc du patient). Le psychologue se place alors toujours du côté du patient, il écoute la souffrance psychologique et les angoisses. Par exemple, en cas de phobies c'est à dire la peur d'être confronté à un objet ou une situation, le psychologue détermine si elle est pathologique ou non. Si elle est pathologique c'est que le patient lui même le dit, il a peur de sortir ou alors l'objet de la phobie influence sa vie. [...]
[...] Mais il ne compte pas toutes les maladies mentales ni celles d'origine organique. C'est un manuel athéorique (c'est à dire détaché de toute théorie) Il y a d'autres classifications mais elles ont toutes le même objectif, couvrir le champs pathologique et enlever le plus de référence à une théorie. C. les différentes théories explicatives des maladies mentales : Plusieurs théories tentent d'expliquer les maladies mentales : - la théorie dynamique pense que les évènements passés notamment dans l'enfance influent le sujet. [...]
[...] Quand ils sont bien particulier à une maladie on parle de symptôme pathognomique. En psychopathologie les symptômes ne sont pas pathognomiques, on ne peut que faire des hypothèses. - le syndrome signifie « qui marche ensemble », il est constitué de plusieurs symptômes en même temps. Par exemple la tristesse et l'aboulie sont des symptômes formant le syndrome de la dépression. - la maladie regroupe tout les cas qui ont la même cause. Par exemple la grippe est une maladie car tous les gens souffrant de la grippe l'ont attrapé par voie virale. [...]
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