L'estime de soi est l'un des thèmes les plus connus et les plus étudiés en psychologie sociale. Elle a donné lieu à un nombre incalculable d'ouvrages et de recherches. Entre 1990 et 1993 plus de 10 000 articles ont été écrits. L'estime de soi désigne l'évaluation plus ou moins favorable qu'un individu fait de lui-même, la considération et le respect qu'il se porte. Il existe des échelles de soi unidimensionnelles permettant de mesurer l'estime de soi globale. Dans ce cas, l'échelle de Rosenberg est la plus connue et la plus utilisée. Elle appréhende une image générale de la valeur de soi.
La plupart des chercheurs font une distinction entre estime de soi globale qui est l'estimation générale de soi c'est-à-dire la valeur globale que l'on s'accorde et des estimes de soi spécifiques qui correspondent à la valeur que les individus s'accordent sur des dimensions spécifiques. On retrouve l'idée de multidimensionnalité de soi.
[...] La composante affective de soi ou Estime de soi L'estime de soi est l'un des thèmes les plus connus et le plus étudiés en psychologie sociale. Elle a donné lieu à un nombre incalculable d'ouvrages et de recherches. Entre 1990 et 1993 plus de articles ont été écrits Théorie et définition L'estime de soi désigne l'évaluation plus ou moins favorable qu'un individu fait de lui-même, la considération et le respect qu'il se porte. Il existe des échelles de soi unidimensionnelles permettant de mesurer l'estime de soi globale. [...]
[...] On peut comparer une activité de type travail ou de loisir. Certains auteurs comme Maucorps ont enrichi la méthode en demandant aux participants d'indiquer leurs choix et leurs rejets mais aussi les attentes de choix et de rejets de la part des autres membres du groupe. On met ainsi en évidence le degré de réalisme perceptif des participants qui se nomme clairvoyance. Certains sont lucides quant aux choix et aux rejets dont ils font l'objet alors que d'autres ne le sont pas du tout. [...]
[...] Inconvénient des mesures classiques de l'estime de soi Le principal inconvénient renvoie au fait qu'elles corrèlent généralement avec des mesures de désirabilité sociale, les individus ont tendance à répondre de façon désirable socialement donner une bonne image de soi Une mesure a été mise en place pour limiter ce type de biais : IAT (Impliat Association Test) pour appréhender les attitudes et les stéréotypes. Par rapport aux échelles d'estime de soi, le test IAT mesure la force des associations entre le concept de soi et les items à valeur négative ou positive. Cela permet d'éviter que le sujet ait conscience et qu'il exerce un contrôle sur ses réponses de façon à se présenter de façon positive. Chapitre 2 :L'analyse sociométrique des groupes Comment peut-on mesurer et représenter la structure informelle des relations affinitaires à l'intérieur des groupes ? [...]
[...] Moins la personne était d'accord avec ces questions plus elle avait une estime de soi élevée. L'échelle a subi plusieurs révisions, certaines questions ont été modifiées voire supprimées ou rajoutées. L'échelle comprend 31 questions qui permettent de mesurer la dimension de : La confiance en soi sociale, aptitudes scolaires La considération de soi L'apparence physique A partir de cette échelle on peut calculer des scores spécifiques à l'estime de soi, en les accumulant on obtient une estime de soi générale. [...]
[...] Elle permet d'aborder un aspect de la cohésion des groupes. Généralement, les résultats sont présentés sous forme d'un tableau à double entrée appelé sociomatrice. Puis, on établit un graphique appelé le sociogramme Les principaux indices d'une analyse Le nombre de choix total (positif et négatif dont fait l'objet l'individu) Le nombre de choix positif dont fait l'objet l'individu : ça indique une position de leadership ou d'ascendance sur le groupe. Le nombre de choix négatif, on dit qu'il est mal aimé ou souffre-douleur. [...]
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