Clinique de l'angoisse, anxiété, fonctionnement psychique, défenses, cours, psychologie
Nous nous interrogerons sur l'angoisse comme vécu et comme facteur psychique. L'étude de l'angoisse nous permettra de suivre la structuration de l'individu et de son enfance à l'intérieur de sa structure psychique.
Clinique de l'angoisse ? On parle de cette relation particulière qui se tisse entre elle et la personne dont elle s'occupe. La clinique c'est un rapport particulier qui inclut la connaissance des lois générales qu'elle soumet toujours à l'observation individuelle.
[...] Chaque force est compensée en quelque sorte équilibrée par une ou plusieurs contreforces. Il y a aussi décompensation, des moments dans lesquelles à la suite d'un chic d'un changement climatique brutale, dans tout système la compensation peut à certains moments être interrompu et des secteurs voire même l'ensemble du système entré dans un état de décompensation (déséquilibre des forces). En psychiatre l'on attribue cela aux souffrances psychiques qui aboutissent à l'éclosion, nous l'on nomme un syndrome psychopathologie. Ce qui amène le dysfonctionnement c'est une rupture entre les forces psychiques, entre les dynamiques internes au système. [...]
[...] On s'occupera des expériences de l'angoisse et du sens que cela prend. On utilise le vertex du sens en clinique. De son fonctionnement de son appareil psychique, génère le sens de cette réalité. La construction des défenses contre l'angoisse La principale force psychique qui s'oppose à l'apparition de l'angoisse : les défenses. La clinique montre que la réalité psychique humaine est faite de force nombreuse et s'opposant entre elles et que notamment ce qui faisait la spécificité du fonctionnement psychique humaine c'est l'inhibition. [...]
[...] Il s'aperçoit que les chevaux urinent aussi avec leur pénis et là il commence à faire des comparaisons. À une sortie il est témoin d'un accident, il entend le hurlement du palefrenier qui déclare qu'il vient de se faire mordre la main par un cheval. À partir de ce jour, Hans va commencer à avoir peur des chevaux, il pensait que le cheval allait lui mordre la main comme le palefrenier puis plus tard il dit qu'il va lui mordre le pénis. Il ne veut alors plus sortir, etc. [...]
[...] Elle va vouloir plus se contrôler, se maitriser, plus d'auto-surveillance. Surveillance perpétuelle de soi. Dans certains cas on va voir apparaitre un renforcement d'un mécanisme de défense de contrôler et de maitrise et quelque jour après on va voir une petite fille qui ne supportera plus voir une tâche nulle part. on va voir apparaitre un symptôme obsessionnel. Il va y avoir une modification de soi = autoplastie. Personne dans son entourage ne fera le rapprochement, tout le monde et elle aussi se sont dépêchés d'oublier. [...]
[...] Le père illustre compense la balance opposée au point qu'il va tenter de la faire oublier. Le délire va être donc là aussi une sorte d'auto guérison magique qui va tenter d'effacer la réalité externe au profit de la réalité interne toute puissante, absolue et qui par ses moyens va être en position de faire oublier au sujet ses affects de ruine narcissique au sujet. On peut donc dire que tout symptôme est l'aspect visible, sensible, la construction concrète d'une défense nouvelle contre la réalité interne et contre les affects qui leur sont liés. [...]
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