Cours de philosophie de niveau première année de psychologie présentant la naissance des différents champs de la psychologie.
[...] Dans ce cas là, on rétablie la dimension critique du jugement, en se demandant ce que l'on connaît vraiment, quand on fait cela, en se demandant qu'est-ce que cela vaut au regard du bien et du mal. On se demande quel sens cela de faire tout cela. On voit que ces trois aspects peuvent se résumer en une question : Qu'est-ce que j'en pense ? (je sors du champ scientifique avec cette question). La pensée n'est pas une connaissance, c'est un moyen de synthèse. VII) BIBLIOGRAPHIE Pratique de la philosophie de A à Z chez HATIER L'intelligence et le milieu familial LAUTREY L'enfant à l'intelligence troublée GIBELLO Les sept savoirs nécessaires à l'éducation du futur E. [...]
[...] C'est pour cela que le terme de pensée, convient mieux, à ce que la philosophie veut dire. La pensée exprime la capacité de synthèse du jugement, qui intègre à la fois un aspect cognitif, un aspect moral et un aspect existentiel. Quel sens ça a ? Quel est le rapport de tous ces éléments à moi ? C'est se demander quel sens a ma vie. La pensée et le jugement expriment donc bien, le travail de la philosophie dans la question : Qu'est ce que l'homme ? [...]
[...] Elle a une fonction de maintien d'un certain type de rapports sociaux. C Même sans référence à la notion de clase sociale, on peut parler d'un usage normalisateur de la psychologie des tests. En effet, la distribution statistique devient la norme, et sa mise en évidence, a des effets de standardisation. Le comportement de masse devient le prototype du comportement normal. La généralisation de l'usage des statistiques dans les sciences du comportement, exprime les besoins d'une gestion de masse des problèmes humains. [...]
[...] Au fond, l'intelligence exige la capacité à renoncer à l'illusion d'une maîtrise imaginaire de la situation, ce qui revient en termes Freudiens, à l'abandon de la toute puissance magique, pour fonctionner sous le primat du principe de réalité. III) LE BEHAVIORISME DE WATSON (1913) Le béhaviorisme est une psychologie comportementale. WATSOn veut arracher la psychologie aux gens qui font de l'introspection. WATSON dit que l'âme n'est pas un objet, et qu'on ne peut faire de la psychologie qu'avec des choses observables. Il pense que l'on ne peut faire de la psychologie qu'avec des comportements. [...]
[...] IV) LA PSYCHOLOGIE COGNITIVE Cette psychologie prend ses modèles de la cybernétique (intelligence artificielle et ordinateur), et elle se propose de comprendre le fonctionnement de l'esprit humain, à partir de fonctionnements de l'ordinateur, dans le traitement des informations. Sa modélisation de l'intelligence humaine ou animale, emprunte ses outils et son vocabulaire, au domaine de l'intelligence artificielle. Le risque que courent ces travaux, est de censurer les fonctionnements humains, qui ne peuvent pas être modélisés par un ordinateur. Le risque que nous courons est de programmer nos fonctionnements intellectuels, selon les possibilités de programmation de l'ordinateur lui-même. LA PSYCHOLOGIE CLINIQUE Elle se constitue dans un mouvement de référence à deux traditions : tradition philosophique et tradition médicale. [...]
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