La consommation répétée entraîne des dommages ou une souffrance
Soit pour le sujet
Soit pour son environnement, les autres, la société
- Santé physique ou mentale
- Bien être général
- Qualité des relations de couple
- Qualité des relations familiales
- Qualité des relations sociales
- (...)
[...] Les complications peuvent être physiques ou psychiques. En l'absence de dépendance Dépendance Perte de contrôle de la substance Centration sur la substance Etat affectif négatif associé au manque Dépendance psychique Besoin de maintenir ou de retrouver les sensations de plaisir bien-être stimulation qu'apporte la substance Eviter la sensation de malaise psychique quand manque le produit Au maximum craving ou recherche compulsive Dépendance physique Besoin de consommer le produit pour éviter le syndrome de manque Syndrome de sevrage = apparition de signes physiques caractéristiques quand le produit quitte l'organisme Tolérance : diminution des effets du produit PAS OBLIGATOIRE DEPEND DU PRODUIT ET DU SUJET Critères DSM-IV Au moins 3 dans les 12 derniers mois Tolérance Syndrome de sevrage La substance est souvent prise en quantité supérieure ou sur un laps de temps plus long que prévu Un désir persistant ou des efforts infructueux sont faits pour réduire ou contrôler l'utilisation de la substance Un temps considérable est passé à faire le nécessaire pour se procurer la substance, la consommer ou récupérer des effets D'importantes activités sociales, occupationnelles ou de loisirs sont réduites ou abandonnées à cause de l'utilisation L'utilisation de la substance est poursuivie malgré l'existence d'un problème physique ou psychologique persistant ou récurrent déterminé ou exacerbé par la substance La CIM 10 rajoute la notion d'envies impérieuses Pourquoi différencier ces modes de consommation ? [...]
[...] Cocaïne Nocivité somatique Cardiovasculaires Etat général Nocivité psychiatrique Nocivité sociale Troubles du comportement Intoxication ou manque Argent Formes fumées ou injectées Pas de dépendance physique Dépendance psychique très forte : craving Usage à risque usage nocif ? [...]
[...] Probablement (en tous cas très peu risqué) Certainement pour les comportements Usage nocif (CIM 10) / abus (DSM-IV) La consommation répétée entraîne des dommages ou une souffrance Soit pour le sujet Soit pour son environnement, les autres, la société Santé physique ou mentale Bien être général Qualité des relations de couple Qualité des relations familiales Qualité des relations sociales Situations professionnelles ou financières Relation à la loi, l'ordre, la société Sans atteindre les critères de dépendance Abus de substances psycho-actives DSM IV Altération du fonctionnement / souffrance cliniquement significative 1 - Utilisation répétée conduisant à l'incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l'école ou à la maison 2 - Utilisation répétée d'une substance dans des situations où cela peut être physiquement dangereux 3 - Problèmes judiciaires répétés 4 - Utilisation de la substance malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux liés à son utilisation Au moins un dans les 12 moisSans dépendance Utilisation nocive pour la santé (CIM 10) Mode de consommation d'une substance psychoactive qui est préjudiciable à la santé. [...]
[...] Syndrome de dépendance Majorité des consommateurs sont dépendants Dépendance ne veut pas dire nocivité Physique : irritabilité ! Psychique comportementale Opiacés Nocivité somatique: liée à l'injection Overdose Nocivité sociale (personnelle judiciaire etc) Illicites Troubles du comportement intoxiqué et en manque Dépendance physique Fréquente (85 Syndrome de sevrage Algies diffuses crampes rhinorrhées mydriase anxiété Consommateur à risque usage nocif ? [...]
[...] Réponse différente selon le stade Conduites à risque: éducation et prévention Usage nocif: dépistage conseil pour revenir à une consommation sans risque Suivi en soin primaire Dépendance: abstinence nécessaire Prise en charge multidisciplinaire Les avantages de l'approche globale Recentre la compréhension sur le comportement humain Auparavant: théorie de l'intoxication Tend à déstigmatiser les patients Rassemble les équipes dans une culture commune Prise en charge globale Prenant en compte l'ensemble des consommations et des comportements Et l'individu consommateur Permet de rechercher les facteurs communs Les limites Bien connaître les spécificités cliniques de chaque produit Questionnement autour de certains comportements, comme l'anorexie restrictive Déclinaison selon les produits Alcool : classification de la SFA Usage = non usage ou usage sans risque usage à risque Mésusage usage nocif usage avec dépendance Conséquences négatives de l'alcool Conséquences somatiques = toxicité individuelle Conséquences de l'intoxication aiguë Accidents violences délits sexualité Conséquences sociales Famille Travail Judiciaires Troubles du comportement Conséquences psychologiques Dépendance physique 30% des dépendants Syndrome de sevrage matinal Tremblements sueurs anxiété vomissements Accidents de sevrage Convulsions Délirium tremens Tabac Nocivité essentiellement somatique, très fréquente Effets psychologiques négatifs chez les très gros consommateurs ? Nocivité sociale ? [...]
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