Un apprentissage par essai ou par erreur
C'est le plus courant, c'est un apprentissage long et lent et le sujet apprend la ou les bonne(s) solution(s) après le rejet de toutes les autres car inadaptées. L'exemple type est le labyrinthe, on choisit une solution parce que toutes les autres nous semblent inadaptées (...)
[...] Deux explications ont été avancées : - les traces de la mémoire s'altèrent avec le temps. L'oubli peut s'expliquer par l'interférence d'apprentissage nouveau et ancien. Une interférence rétroactive : il existe une compétition entre le nouvel apprentissage et un ancien. Ainsi l'oubli augmente avec la quantité d'apprentissages nouveaux surtout ceux qui ont quelques ressemblances avec le savoir ancien. - L'ancien peut, à l'inverse, refaire surface pour produire une interférence proactive. L'oubli est non seulement nécessaire mais bénéfique, notre système de mémoire est potentiellement capable d'encoder est de stocker un grand nombre d'information. [...]
[...] Fonctionnement de la mémoire La mémoire est un système de stockage et de récupération d'information qui passe par trois étapes. Il faut tout d'abord alimenter le système en information (encodage), conserver ces informations dans le temps (stockage) puis une possibilité d'accès à la mémoire stockée (récupération). Bien que ces processus soient conceptuellement différents, ils sont étroitement liés si bien qu'une modification touchant à l'un d'entre eux aura tendance à tous les influer. Il existe une relation quasi-linéaire entre la quantité de ce qui est appris et le temps consacré à l'apprentissage. [...]
[...] III. Classification des mémoires humaines 1. Introduction Les études menées chez des sujets normaux et chez des sujets présentant des pathologies diverses de la mémoire (amnésie) ou présentant des troubles neuropsychologiques consécutifs à des lésions cérébrales d'origines traumatiques ou vasculaire ont permis d'aborder les différents concepts de la mémoire humaine et ses différentes classification telle que la mémoire à long terme (MLT) (mémoires implicites et explicites, sémantique et épisodique). La mémoire de travail constitue la mémoire à court terme (MCT). [...]
[...] -la seconde consiste à laisser libre court à la capacité de l'organisme à s'adapter à son environnement grâce à des processus et d'apprentissage et de mémoire. L'être humain pousse cette stratégie à l'extrême. Les termes d'apprentissage et de mémorisation souvent utilisés de façon presque synonyme mais renvoient pourtant à 2 réalités distinctes : l'apprentissage correspond a tout mécanisme susceptible de modifier un comportement ultérieur alors que la mémoire désigne la capacité à retrouver les expériences passées. Cette distinction a pu être précisée à partir de l'étude de patients amnésique qui, tout en étant aptes à apprendre ne peuvent pas se souvenir de l'expérience qui leur a permis d'apprendre. [...]
[...] -La motivation joue un rôle clef dans l'apprentissage. En effet, il est proportionnel à la motivation dans la mesure où celle-ci reste dans une grandeur acceptable. Une trop forte motivation entraîne une désorganisation des comportements et donc nuire à l'apprentissage. -La participation, une participation active est plus efficace qu'une participation passive Les conditions de l'apprentissage Les facteurs temporaux spatiaux Un apprentissage distribué, étalé dans le temps est plus efficace qu'un apprentissage concentré. Cependant, la disposition et la durée des périodes de travail et de repos dépendent des sujets et de la tache à effectuer. [...]
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