Pharmacie - Santé - Social, bipolarité, psychiatre, Bruno Falissard, stress post-traumatique, vétéran, victime
Depuis le tout début de mon adolescence, le sujet des troubles mentaux à su éveiller ma curiosité. Cet intérêt soudain pour ces phénomènes touchant l'esprit psychologique des gens se relate au diagnostic inattendu de l'état de santé de ma mère : la bipolarité. Maladie anciennement appelée maniaco-dépressive, consiste en des sauts d'humeurs que l'on essaie de contrôler avec l'aide de certains médicaments consistant en un « cocktail » de médicament propre à chacun et chacune. Plusieurs services et formations sont nécessaires dans l'entourage des patients étant en détresse psychologique. Comme le stipule le titre du dossier : l'histoire, les symptômes ainsi que la prise en charge sont primordiaux au sujet. D'où l'importance de la compréhension des différents troubles, pour par la suite diagnostiquer un certain problème et l'approfondir. C'est pour cette raison que mon choix d'articles s'arrêta sur : « Qu'est-ce qu'un trouble mental », « L'art du diagnostic » et « Le stress posttraumatique ».
[...] Afin de poser un diagnostique conforme sur un patient, deux modalités doivent être suivie durant les rencontres : phénoménologique et sémiologique. La première consiste en une certaine subjectivité exprimé par le psychiatre pour par la suite réussir à se glisser subtilement dans le psychique du patient. La deuxième sert à relevé tout ce qui est clinique chez le patient[3]. Dans cet article, on y retrouve ici les démarches générales que doivent suivent les psychiatres afin de donner un diagnostique à leur patient. Toutefois, le processus du diagnostic d'un patient ne se résume pas qu'en ces deux courtes pages de magasine. [...]
[...] Afin de rendre le diagnostic le plus fiable que possible, trois facteurs doivent être pris en considérations : la biologie, la psychologie et le social et ce, qu'ils interagissent ensemble ou indépendamment l'un de l'autre[1]. Le psychiatre Bruno Falissard explique ce en quoi consiste le terme : diagnostique. L'interprétation du mot et donc de l'application de ce dernier est unique à chacun des spécialistes. Toutefois, Falissard nous fait comprendre qu'il y a des réglementations à suivre. Que ce soit avec une approche psychanalytique ou physio/psycho-pathologique, il y a certaines normes de classification à suivre. [...]
[...] Je trouve donc pertinent que la psychologue Pascale Brillon brise ce mythe du TSPT à travers de son article en ne mettant pas l'accent sur les vétérans mais sur les victimes de traumatisme. Jean-Françpos Dortier. P.11 Bruno Falissard. P.20 Bruno Falissart. P.21 Pascale Brillon. P.32 Pascale Brillon. P.33 Pascale Brillon. P.33 Pascale Brillon. [...]
[...] En fait, elle précise que le (TSPT) est l'un des seuls troubles psychologiques dont la cause a été clairement identifiée[4] Brillon nous fait comprendre que, trop souvent, les personnes atteintes de stress post-traumatiques furent vu comme étant des lâches et des personnes faibles d'où l'importance qu'elle porte à dire que ce sont là des faux- dires puisqu'il s'agit ici de victimes de traumatismes ayant besoin d'aide[5]. L'énumération des problèmes qu'engendre la TSPT est phénoménale. En fait, cela ne consiste pas qu'en l'évitement de situations, odeurs, sons, etc. [...]
[...] Pour sa part, Jean-François Dortier rédige un article historique sur les troubles mentaux et en donne un aperçu introductif. La suite logique des articles résumés dans ce travail offre donc un ensemble général du travail qu'on à faire les spécialistes s'occupant des personnes ayant des troubles mentaux. Les services offerts aux victimes sont donc nombreux et les spécialistes ont pour obligation et devoir de fournir l'aide aux personnes étant prêtes à en recevoir. Ces personnes sont donc victimes et prisonnières de leur psychique combattant ainsi contre leur propre esprit. [...]
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