"Au cours de l'automne 1892, un médecin de mes amis me demanda d'examiner une jeune fille qui, depuis plus de deux ans, souffrait de douleurs dans les jambes et marchait avec difficulté. Il connaissait un peu la famille de la malade et savait que les années écoulées lui avaient apporté beaucoup de malheurs et peu de joie... Elle paraissait intelligente, et supportait les souffrances qui gênaient ses relations sociales et ses plaisirs avec la mine sereine et, me dis-je, la belle indifférence des hystériques..."
(Mademoiselle Élisabeth v. R...
S. Freud in Études sur l'hystérie. PUF)
[...] Résistant à l'hypnose, le patient s'est allongé de ses yeux fermés, mais a pu déplacer, ouvrir ses yeux et être assis. Freud a alors appliqué "la technique de concentration," le même il utilisait sur un autre patient de son à l'époque Mlle Lucy R. Il était ceci qui a persuadé Freud qu'elle cachait un secret, mais ses remarques initiales n'avaient aucun effet malgré leur nature dramatique. Son histoire familiale a été caractérisée par la maladie cardiaque et la mort de son père, qu'elle a profondément aimé, pour qui elle pris la place d'un fils et un ami avec qui il pourrait échanger des pensées" (1895ème, p. [...]
[...] Elisabeth von R., si nous devons croire les révélations de sa fille, a dit l'histoire quelque peu différemment. "Elle a décrit Freud comme ' juste un neurologue jeune, barbu auquel ils m'ont envoyé. Il avait essayé" de me persuader que j'étais amoureux de mon beau-frère, mais ce n'était pas vraiment ainsi. "Pourtant, sa fille ajoute, le compte rendu de Freud de l'histoire familiale de sa mère était considérablement correct et le mariage de sa mère était heureux." (Homosexuel, p. 72). [...]
[...] PUF) Descriptif Elizabeth Von R "Fräulein Elisabeth von R." est le pseudonyme que Freud a donné à Ilona Weiss, une jeune femme d'origine hongroise, dont le cas est décrit dans les Études sur l'Hystérie (1895ème) et qu'il a traité dans la chute de 1892 et juillet 1893. La troisième fille dans une famille hongroise aisée, Elisabeth von R. avait vingt-quatre ans quand Freud l'a traitée en automne de 1892 pour des douleurs dans ses jambes et la marche à pied de difficultés, des problèmes elle avait éprouvé pendant deux ans. [...]
[...] Il a alors expérimenté avec le phénomène qui modifierait bientôt sa conception de psychothérapie : " Au cours de ce travail difficile j'ai commencé à attacher une signification plus profonde à la résistance offerte par le patient dans la reproduction de ses mémoires et faire une collection prudente des occasions auxquelles il a été particulièrement marqué "(1895ème, p. 154). C'était sur son compte rendu qu'il a utilisé. Au printemps 1893 une douleur vive est réarrivée quand elle a entendu, dans une pièce adjacente au bureau de Freud, son beau- frère qui était venu pour la prendre. [...]
[...] Fraulein Elisabeth von R . "Au cours de l'automne 1892, un médecin de mes amis me demanda d'examiner une jeune fille qui, depuis plus de deux ans, souffrait de douleurs dans les jambes et marchait avec difficulté. Il connaissait un peu la famille de la malade et savait que les années écoulées lui avaient apporté beaucoup de malheurs et peu de joie . Elle paraissait intelligente, et supportait les souffrances qui gênaient ses relations sociales et ses plaisirs avec la mine sereine et, me dis-je, la belle indifférence des hystériques . [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture