« Manger sain et manger varié », la devise d'une bonne alimentation devrait se résumer à cette simple maxime. Une bonne nutrition est un facteur de bonne santé mais aussi un des garants de la réussite sportive. En effet, des études médicales ont montré que les deux plus grandes causes de décès en France : cancers et maladies cardio-vasculaires, sont liées à notre façon de manger. D'autre part, dans la Grèce Antique, les participants aux jeux avaient une croyance originale qui consistait à manger les animaux qui possédaient les qualités physiques dont ils voulaient s'accaparer (chèvre pour les sauteurs, taureau pour les coureurs, cochon sauvage pour les lutteurs). De ce temps lointain, il nous reste quelques expressions célèbres comme « bouffer son adversaire ».
Ainsi, la nutrition fait partie d'un ensemble de comportements qui participent à notre hygiène de vie.
Néanmoins, il reste à l'heure actuelle encore, un des derniers fléaux de notre monde moderne, l'immobilisme des populations urbaines, qui va de pair avec une alimentation très riche, trop riche.
Ce surplus calorique n'est pas ou peu brûlé par leur organisme entraînant des pathologies graves comme l'obésité, les accidents coronariens ou le diabète gras. En effet, tout au long du siècle, la mécanisation a contribué à diminuer les tâches physiques, déplacement en voiture, travail industriel, agricole et domestique. On ne marche presque plus, on évite les escaliers en prenant l'ascenseur, on emprunte les tapis roulant…
[...] Cependant, il ne faut pas non plus en faire une phobie, car d'une part, six infarctus sur sept, surviennent sans élévation de la cholestrérolémie et d'autre part, le cholestérol est nécessaire au bon fonctionnement de l'organisme, puisqu'il intervient dans la synthèse de très nombreux composés 2/11 comme la vitamine les sels biliaires et les hormones sexuelles notamment. Il ne faut donc pas le bannir de l'alimentation les glucides Il s'agit évidemment de la famille des sucres. Ils sont composés de carbone, d'hydrogène et d'oxygène (glucose=C6H12O6), leur dégradation fournit 4 Kcal par gramme (17 KJ/g). Ces aliments ne sont pas indispensables à la vie, on les consomme pour le plaisir. [...]
[...] Les seconds autour des intestins et sous la peau, représentent à peu près 550000 kcal. Il est nécessaire de développer son stock de glycogène, pour cela , l'entraînement aérobie, améliore le transport de l'oxygène vers les muscles, donc réduit la consommation du glycogène en privilégiant une consommation supérieure en lipides. Mais il existe une autre méthode qui consiste à utiliser des régimes alimentaires spécifiques : - le régime dissocié scandinave - le régime dissocié - le 4,2,1 GPL du docteur Creff le régime dissocié scandinave Il consiste à supprimer toutes les formes de sucres 7 jours avant la compétition pour vider le foie et les muscles du glycogène, au moyen d'un effort long et intense (Connaissances Annexes 3). [...]
[...] Ce phénomène est une embolie. Dans la forme la plus fréquente, l'embolie pulmonaire, le thrombus naît lors d'une phlébite du mollet et l'embole est entraîné jusqu'à une branche de l'artère pulmonaire. Le traitement curatif est très variable. Les principaux médicaments disponibles sont, d'une part, les fibrinolytiques, qui dissolvent le caillot, et, d'autre part, les anticoagulants du type de l'héparine. La prévention se fait sous deux formes. D'une part, on prescrit une héparine chez un malade qui n'a pas d'antécédents, mais qui est exposé à un fort risque thrombogène (alitement prolongé, par exemple). [...]
[...] Cela ressemble à une grosse cloche à fromage, on glisse la main dans une sorte de manchon hermétique qui permet de maintenir une légère pression négative et on pose la paume sur une boule froide. Cela devrait permettre une baisse de la température du corps et donc une augmentation de des performances en endurance et de la puissance musculaire. En effet, un athlète qui lutte contre la chaleur, détourne une partie du sang sous la peau ce qui diminue la quantité disponible au niveau des muscles. Pourquoi la main ? Car la couche de graisse y est mince et elle a un réseau dense de veinules et d'artérioles ce qui favorise les échanges thermiques. [...]
[...] Son régime consiste à manger à chaque repas glucides protides et 1 lipide. La seule fausse piste évoquée concernerait l'apport glucidique qui correspondrait à 7g/kg/j, or quand l'entraînement est très intense, il semblerait que la dose à prescrite soit de 8 à 10g/kg/j pour parvenir à reformer les stocks de glycogène la famille des glucides les crudités Avec légumes (carotte, céleri, chou, cresson, radis ) et fruits (abricot, ananas, avocat, citron, nèfle .). Elles apportent des sucres en quantité assez faible pour les légumes et moyenne pour les fruits, des minéraux, des fibres et vitamine A et C les cuidités Avec les mêmes légumes cuits ou en conserve plus asperge, aubergine, courge, citrouille et les fruits en conserve ou cuits. [...]
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