Exposé sur le thème : Alimentation et environnement. Comment satisfaire notre besoin alimentaire en apport vers notre organisme et en rapport à la production agro-alimentaire tout en respectant les conditions environnementales ? Comment répondre à nos besoins ? Comment améliorer cette production sans quelle soit au détriment des équilibres écologiques ?
[...] Système échange et d'apport alimentaire A. Rappel anatomique chez les mammifères Pour réaliser les échanges entre les milieux intérieurs et extérieurs, l'organisme dispose de plusieurs appareils liés les uns aux autres par la circulation sanguine. Rappel : le sang est un organe liquide principalement construit au sein de la moelle épinière rouge des os long : tibia et fémur. Le sang transporte des éléments nutritifs et des déchets, il est composé de plasma sanguin, de globules rouges et de globules blancs. [...]
[...] Conclusion L'alimentation humaine dépend de la culture de quelques aliments de base (viande, céréale, fruit et légume). En utilisant les agro-systèmes on essaie de répondre aux besoins qualitatifs et quantitatifs. Si l'usage des engrais chimiques améliore les rendements, si l'usage des pesticides lutte contre les ravageurs et parasites, ces substances créées des déséquilibres écologiques et polluent aussi les écosystèmes. Le challenge agroalimentaire actuel est donc de produire mieux tout en respectant l'environnement. [...]
[...] L'appétence et choix alimentaire A. Influence environnementale La mise en appétit est appelé appétence où nos sens participent à celle-ci et aux choix des aliments ingérables et ingérés. Nous possédons six sens : Les stimulis environnementaux (exogènes) perçus par nos organes des sens orientent nos choix alimentaires et peuvent déclencher la faim ou la satiété (la faim) en dehors de tous stimuli endogènes gargouillis gastriques d'un estomac à deux tiers vide). Si certains choix sont dus à des préférences innées (exemple : produits sucrés) d'autres sont acquis renforcées par l'apprentissage culturel (exemple : consommation de vin), ou à l'apprentissage culturel, lié au culte (exemple : dégout du porc pour les musulmans, le cheval pour les anglais), l'apprentissage psychologique en bien ou en mal. [...]
[...] Pollution des milieux et course aux rendements A. Pollution des eaux Les produits déversés dans les zones cultivées peuvent ne pas être entièrement incorporés par les végétaux et se retrouver en fin de compte dans les eaux douces ou salées. Les eaux enrichies en azote et phosphate sont dites eutrophies, c'est-à-dire trop riche en matière minérale, ce qui induit une multiplication exagérée des algues vertes, asphyxiant les milieux aqueux. B. Usage des farines animales L'idée d'utiliser des farines animales en soi n'est pas mauvaise, mais elle ne pourra reprendre que lorsque les destructions totales des protéines prions seront maitrisées. [...]
[...] Les productions alimentaires A. Notion de production de matières organiques En dehors des organismes autotrophes (les plantes chlorophylliennes photo autotrophes) capables de construire les premières molécules de matières organiques à partir du dioxyde de carbone et de l'azote atmosphérique, les sels minéraux prélevés dans le sol, tous les autres organismes sont des hétérotrophes. Aussi les végétaux sont les premiers maillons de nombreuses chaines alimentaires constituants les réseaux trophiques. Le blé, premier producteur de matières organiques est appelé producteur primaire. Les campagnols, les vaches ou les lapins sont des consommateurs primaires mais aussi des producteurs secondaires, les derniers éléments de chaque chaine sont tous des producteurs secondaires et sont qualifiés de prédateurs et supers prédateurs. [...]
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