libéralisme, DDHC, critique socialo-marxiste, justice libérale, libéralisme radical
DDDH tous les hommes sont par nature libres et égaux en droit, aucun homme n'a par nature droit de commander un autre homme. Mais on peut penser que cette égalité de droit ne suffit pas à préserver les hommes des injustices sociales
[...] L'ordre du marché et le refus de la justice sociale : le libéralisme radical de Friedrich von Hayek L'ordre social ne peut pas être artificiellement institué par une raison ou par une volonté humaine d'organisation. IYA ordre spontané l'ordre du marché. Hayek s'oppose ainsi à la conception du marché où on adapterait l'offre à la demande à partir de la connaissance parfaite des besoins existants et des productions disponibles. Marché = échange continuel d'informations, par cet échanges des individus s'adaptent spontanément les uns aux autres. Ordre spontané, éviter intervention étatique. [...]
[...] Cette logique suffit-elle néanmoins à corriger toute les injustices existantes ? notion de mérite – habitus Bourdieu Marx dénonce DDHC égalité des droits rend légitime les inégalités productives. Par nature les hommes sont inégaux puisqu'ils n'ont pas les mêmes capacités, or la justice part du postulat que les hommes sont égaux, tous les salariés sont égaux, la justice fait abstraction de l'effort consacré qui est variable mais pas de différence ds les salaires pour réparer injustices Marx « il faut que le droit ne soit pas un droit égal mais il faut qu'il soit un droit inégal », il doit traiter de manière différente les individus qui sont par nature différents. [...]
[...] Page 2 sur 2 L'organisation d'une société juste : le problème des inégalités et les apories de la justice sociale I. Du libéralisme de la DDHC à la critique socialo-marxiste des droits de l'homme et de la justice libérale DDDH tous les hommes sont par nature libres et égaux en droit, aucun homme n'a par nature droit de commander un autre homme. Mais on peut penser que cette égalité de droit ne suffit pas à préserver les hommes des injustices sociales. [...]
[...] Des chances pas égales au départ, ne faut-ils pas redistribuer les résultats du jeu ? III. De la justice à l'équité : l'intégration du souci de justice sociale dans la tradition du libéralisme po. Distinguer libéralisme (IYA souci pour la justice sociale) et néo-libéralisme et libertarianisme.(Etat rôle minimal, maintient de l'ordre dans la cité) Locke, à l'état de nature chaque homme droit de propriété sur son corps et ses biens, et sur son travail (légitime la propriété, car sans incorporation du travail la nature appartient à tous donc à personne.). [...]
[...] L'Etat pour Locke doit donc intervenir pour éviter dépendance-reniement de la liberté de l'homme pour venir permettre à tous de s'approprier la terre pour assurer subsistance Autre solution redistribuer une partie de la propriété des plus riches pour permettre à ceux qui n'ont rien de subvenir à leur besoin. Mais où commence l'injustice ? Pour Locke l'injustice commence lorsque les inégalités sont telles qu'elles lèsent le droit à autrui à se conserver en vie pour subvenir à ses besoins les plus élémentaires. Une société moins inégalitaire n'est pas forcément une société plus juste (totalitarisme). Rawls Théorie de la justice une société juste est une société qui organise la répartition des inégalités matérielles en partant des plus défavorisés. [...]
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