Il parle en son nom propre et tient des propos scandaleux que les Anciens mettaient dans la bouche de leurs personnages. Il envisage la fondation de l'Etat, et non son fonctionnement qui doit être, selon lui, le règne de la loi. L'apport de Machiavel qui scandalisa est le refus de référer les règles de la pensée politique à une morale naturelle ou à un ordre religieux transcendant.
[...] La république ne se confond pas forcément avec la démocratie. Il veut en finir avec les institutions du Moyen Age et avec le pouvoir temporel des papes. La liberté est la fin et aussi le principe de toute liberté. Si un peuple a connu la liberté, il ne l'oubliera jamais. Aussi le conquérant doit détruire la ville avant d'être détruit par elle. En politique, l'usage de la force est inévitable. La guerre est le rapport le plus constant entre les Etats. [...]
[...] Machiavel (1469 1527) ou la fondation de l'Etat Ou la fondation de l'Etat Il parle en son nom propre et tient des propos scandaleux que les Anciens mettaient dans la bouche de leurs personnages. Il envisage la fondation de l'Etat, et non son fonctionnement qui doit être, selon lui, le règne de la loi. L'apport de Machiavel qui scandalisa est le refus de référer les règles de la pensée politique à une morale naturelle ou à un ordre religieux transcendant. [...]
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