Ce livre a été écrit en 1848. L'Europe était hantée par le communisme, méconnu d'alors, et en quoi chacun y voyait quelque chose de mauvais. Ce manifeste a donc été rédigé à Londres lors de La Ligue des communistes, une union ouvrière internationale, dans le but de montrer à la face du monde entier ce qu'est vraiment le communisme.
De tout temps, oppresseurs (ici les bourgeois) et opprimés (les prolétaires) sont en désaccord et donc en lutte, qu'elle soit direct ou indirect, ce qui amène toujours en bout de course soit une transformation révolutionnaire de la société, soit une destruction des deux classes en lutte. Dans la société féodale, une vraie hiérarchie était en place.
Avec la bourgeoisie, on assiste de plus en plus à un creusement entre deux camps que sont d'un côté les bourgeois, de l'autre les prolétaires. La bourgeoisie a profité d'un rapide développement économique et technologique. Les ouvriers d'avant, les artisans, ont été placés dans des manufactures, plus grandes que leurs lieux de travail et qui enfin s'est transformé en usine.
[...] Fiche de lecture : Le manifeste du parti communiste de Karl Marx et Friedrich Engels Introduction : Ce livre a été écrit en 1848. L'Europe était hantée par le communisme, méconnu d'alors, et en quoi chacun y voyait quelque chose de mauvais. Ce manifeste a donc été rédigé à Londres lors de La Ligue des communistes, une union ouvrière internationale, dans le but de montrer à la face du monde entier ce qu'est vraiment le communisme. I. Bourgeois et Prolétaires Bourgeois : les bourgeois rejoignent ce qui était dans les régimes antérieurs les maîtres comme les barons dans la période féodale. [...]
[...] En effet, seule la bourgeoisie possède vraiment la propriété, car les prolétaires, dans leur pauvreté, ne peuvent posséder de propriété puisqu'ils ont juste de quoi se nourrir ainsi que leur famille. Avec le communisme, c'est un concept de nouvelle liberté qui intervient, plus celle du libre-échange du capitaliste, mais de l'abolition de l'individualité et de l'indépendance. Il est possible que de la crainte s'installe chez chacun en entendant plus de propriétés privées. Certains diraient même que le pays serait en grève s'il n'y avait plus de propriété privée, or est-ce, que cela a été le cas un jour dans cette société bourgeoise ? [...]
[...] En élevant le prolétariat en classe régnante, les communistes veulent arracher petit à petit tout capital à la bourgeoisie, pour centraliser tous les instruments de production entre les mains de l'État. Pour que tout cela devienne vivable, les communistes ont dicté des mesures en fonction des pays et d'autres mesures qui peuvent s'appliquer dans tous les pays. Parmi ces mesures, on a l'expropriation de la propriété foncière, des impôts fortement progressifs, l'abolition de l'héritage et d'autres mesures visant à centraliser le capital aux mains de l'État. III. Littérature socialiste et communiste 1. Le socialisme réactionna a. [...]
[...] Les aristocraties mettent en avant le statut que prenaient les prolétariats actuels lors du régime féodal or cette époque est révolue à cause des avancements technologiques faits. Les aristocraties cachent mal que la bourgeoisie s'est créée sous leur régime alors que la bourgeoisie hante le prolétariat. Donc cela discrédite ce régime. b. Le socialisme petit-bourgeois En plus d'avoir ruiné l'aristocratie, la bourgeoisie est devenue néfaste pour les petits bourgeois des pays moins développés. En effet, ces petits bourgeois ne font pas le poids face aux grands bourgeois (concurrence). [...]
[...] Une phrase résume très bien ce socialisme bourgeois : Les bourgeois sont des bourgeois dans l'intérêt de la classe ouvrière Socialisme et communisme critico-utopiques Lors du renversement de la société féodale, les prolétaires n'ont pas réussi à faire prévaloir leur classe puisque le prolétariat n'était qu'à un état embryonnaire à cause de l'absence des conditions matérielles de son émancipation, permettant l'ascension de la bourgeoisie. C'est à ce moment que des systèmes socialistes et communistes se mettent en place. L'antagonisme des classes est alors bien visible, mais ne pouvant vraiment agir, seulement constater, ils commencent à chercher des réformes sociales dans l'intérêt de l'ouvrier pour leur permettre d'avoir des conditions de vie raisonnable. [...]
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