Le Capital Livre 1 - La production et la survaleur absolue - Karl Marx, fiche de questions de compréhensions du livre avec les réponses : 6 pages
D'abord, il faut savoir que la circulation des marchandises est le point de départ du capital. La monnaie est un produit de la circulation des marchandises et c'est la première forme phénoménale du capital. Il y a deux formes qui existent dans la circulation des marchandises. Premièrement, la forme de la circulation des marchandises est M-A-M, qui est une transformation de marchandise en argent et transformation d'argent en marchandise, c'est-à-dire vendre pour acheter. Tandis que la deuxième forme qui est spécifiquement différente est décrite en A-M-A.
[...] Il a dit que la factory a été un des moyens de réorganiser le temps des femmes qui tissaient le coton. Les femmes allaient à la factory tous les jours pendant un certains nombres d'heures et elles tissaient pendant ces heures là. Les métiers de tisserand étaient activés, car il avait une plus grande production pour le même temps qui est une semaine. Le procès de travail se rapporte à la création de valeurs d'usage. Donc, la force de travail ne peut pas s'activer par elle-même. [...]
[...] Le capitaliste paye par exemple la valeur journalière de la force de travail. Son usage lui appartient donc pour la journée, comme celui de toute autre marchandise qu'il aurait louée pour un jour (un cheval, par exemple) On peut voir ici que le travailleur va vendre sa force de travail au capitaliste, c'est-à-dire sont temps de travail. On remarque que le capitaliste achète plusieurs valeurs d'usages qui sont véritablement le temps de travail et cela produit une survaleur après la vente de son produit. [...]
[...] Il a acheté la force de travail pour un laps de temps donné. Il tient à son dû. Il ne veut pas qu'on le vole. Enfin- et pour y veiller notre patron a son propre code pénal- il ne faut pas qu'on utilise à contre-sens de la matière première ou des moyens de travail, parce que le matériau ou les outils qu'on gaspille représentent des quantités de travail objectivé dépensées pour rien, qui ne comptent pas et n'entrent pas dans le produit du procès de formation de la valeur En premier lieu, on pourrait dire que le procès de travail c'est comme le capitaliste. [...]
[...] Le point de valorisation c'est l'allongement de la journée de travail à la production de la force de travail. C'est pour cela que le procès de travail va changer. Travail concret qui produit les valeurs d'usages et le travail abstrait qui produit les valeurs d'échanges. Question 6 Quels éléments immatériels apparaissent selon Marx comme capital aux yeux du salarié dans le procès de valorisation/travail? Ce qui apparaît selon Marx comme capital aux yeux du salarié c'est la journée de travail. [...]
[...] C'est-à-dire la forme qui est la circulation simple des marchandises commence par la vente et se termine par l'achat. On peut dire que c'est la vente de la marchandise contre l'argent peut à près suivi du réinvestissement de cet argent pour l'achat des marchandises. La forme A-M-A est la circulation de l'argent en tant que capital qui commence par l'achat et se termine par la vente. Donc, il faut débuter pat l'argent qui va investi par l'achat d'une marchandise, ensuite la revendre de cette marchandise qui est transformée d'une autre manière et cela va contenir une nouvelle somme d'argent qui est plus grande que celle de départ. [...]
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