Déterminer si les principes de libertés et d'égalité sont présents tout au long du texte est très difficile à déterminer. Cela s'explique en partie par le fait que pour certains, les positions adopter par Platon peuvent être considérées comme étant une sorte de liberté, mais pour d'autres non. Mais Platon les utilise avec des manières qui peuvent être considérées comme étant paradoxales. Cela s'explique par le fait que sur certaines facettes de la vie et de la société, certaines décisions peuvent se contredire.
[...] La conception même de Platon selon laquelle les femmes sont égales aux hommes pose tout de même un problème dans ce qui en découle. La femme dans la société grecque est présentée dans une classe à part où elle a ses devoirs envers la famille, mais elle doit demeurer à la maison. Ceci est la réalité. Mais Platon met la femme sur le même pied d'estrade que l'homme. Il nous montre qu'effectivement, la femme comme l'homme est peut- être meilleure dans certains domaines. [...]
[...] Ceux qui excellent dans tous, c'est-à-dire les gardiens et d'autre part ceux qui n'ont pas de connaissance, c'est-à-dire les gouvernés. En regardant le tout, nous pourrions très bien affirmer que Platon accorde une plus grande place à la question de l'égalité notamment sur la question de la répartition des tâches entre les hommes et les femmes. Cette façon de présenter les choses, selon ce philosophe, nous montre qu'effectivement cette société utopique est en avance sur son temps. Platon, La République trad. Goerges Leroux, GF Flammarion, Paris, 2002. [...]
[...] La République - Platon: Les principes de liberté et d'égalité sont-ils présents? Et, si oui, y en t-il un qui a prépondérance sur l'autre? Les principes de liberté et d'égalité sont-ils présents? Et, si oui, y en t-il un qui a prépondérance sur l'autre? Déterminer si les principes de libertés et d'égalité sont présents tout au long du texte est très difficile à déterminer. Cela s'explique en partie par le fait que pour certains, les positions adoptées par Platon peuvent être considérées comme étant une sorte de liberté, mais pour d'autres non. [...]
[...] Mais en même temps, il croit que les mariages libres devraient être accordés après que les hommes et les femmes ne soient plus dans la force de l'âge. Les gardiens ne peuvent se vanter de posséder une grande liberté. Dès leurs enfances, les enfants qui performent sont tout de suite pris en charge par la cité afin de mieux les éduquer dans la doctrine exprimée par Platon en vue de devenir les Gardiens de la cité. De cette manière, cet aspect de la vie ne va pas dans le sens du principe de liberté. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture