Selon l'article 1er de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC), en date du 24 juin 1793, « Le but de la société est le bonheur commun ».
En effet, le peuple français est convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme sont les seules causes des malheurs du monde. C'est pourquoi, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen entend réaffirmer ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, ne se laissent jamais opprimer, rabaissé par la tyrannie. Il faut que le peuple, la Nation ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur. C'est dans cet objectif que la DDHC de 1793 a été écrit, publié.
Cette déclaration met en lumière un régime encore plus révolutionnaire que le précédent. Il veut tirer un trait définitif et total sur la Monarchie. On ne veut plus du régime monarchique, on ne veut plus de roi, d'une assemblée qui représente les couches supérieures de la société.
On constate que cette déclaration est basée sur la démocratie. Les révolutionnaires soulignent la volonté d'associer la république à la démocratie, car on va mettre en place des élections aux suffrages universels, mais on va mettre en place des mécanismes constitutionnels permettant au peuple d'avoir une influence importante sur la vie politique. On espère avec ces dispositifs redonner aux hommes leurs droits et ainsi réaffirmer le bonheur commun au sein de la société française.
L'intérêt de cette Déclaration des droits de l'homme et du citoyen réside dans ces idées, le peuple, la Nation française doit être en mesure d'être l'acteur politique principale. Tout doit tourner autour de cette cellule.
[...] Le juge doit être la bouche de la loi selon Montesquieu La DDHC de 1793 : le renforcement et l'élargissement des thèmes de 1789 Au sein de la DDHC du 24 Juin 1793, les thèmes de 1789 sont repris, mais orientés. Ainsi, certains droits de 1789 sont élargis ou renforcés. Il y a aussi la volonté par Robespierre que les Français ne soient pas privés de Religion. C'est pourquoi, les révolutionnaires de 1973 ont entendu renforcer certains droits comme résistances à l'oppression qui s'est vu complété par un droit à l'insurrection, mais aussi la liberté de la presse qui avait été oubliée par les constituants de 1789. [...]
[...] La DDHC de 1793 : la fin de la prééminence bourgeoise Avec l'ouverture des lois soumises au vote populaire, mais aussi de la fonction publique, tous citoyens tels qu'il est peuvent entendre participer à la vie politique. Le peuple devient un acteur principal dans cette société qui ne veut que le bonheur commun. Le pouvoir n'est plus réservé au Bourgeois comme en 1789, on rentre dans une ultra démocratie Les paysans comme les bourgeois sont égaux. Il n'a d'autre but que de conserver aux citoyens la jouissance de leurs droits. Le peuple peut s'exprimer, choisir son métier, il peut devenir propriétaire de terre, de sol. [...]
[...] En quoi cette déclaration nous conduit au bonheur commun ? Pour cela, les rédacteurs de la DDHC réaffirment dans un premier temps la DDHC de 1789 mais en renforçant et en élargissant les thèmes fondateurs de 1789 le bonheur commun va se subordonner à la République (II). I. L'épanouissement de la société à travers la réaffirmation de la DDHC de 1789 Les révolutionnaires de 1793 s'inspirent fortement de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 Néanmoins, ils vont orienter les grands thèmes afin de les renforcer ou de les élargir. [...]
[...] En quoi la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793 nous conduit-elle au bonheur commun ? Selon l'article 1er de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC), en date du 24 juin 1793, Le but de la société est le bonheur commun En effet, le peuple français est convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme sont les seules causes des malheurs du monde. C'est pourquoi, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen entend réaffirmer ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, ne se laissent jamais opprimer, rabaissé par la tyrannie. [...]
[...] En effet, dans l'article 1er le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles. C'est pourquoi dès l'article 2 ces droits naturels et imprescriptibles sont l'égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. On ne peut pas mettre un terme à ces droits. Pour assurer une harmonisation de la société, il faut des individus égaux. Il ne doit pas avoir d'inégalité au sein de la société. [...]
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