Politique, rapport de force, Jean-Jacques Rousseau, Le Contrat social, légitimité du pouvoir, loi humaine, contrainte, gouvernement, citoyenneté, sécurité, vivre ensemble, intérêt commun, démocratie
Rousseau dit dans Le Contrat social "L'homme est né libre et partout il est dans les fers". Il remet en cause la légitimité du pouvoir des systèmes politiques. La politique est-elle donc injuste ? Utilise-t-elle la force ? Les rapports de force peuvent-ils être bien pour les citoyens ou toujours mal ? La politique, du grec Polis, "la cité", désigne l'art de gouverner la cité, de diriger un État. Les rapports de force sont un principe de puissance ou d'action, en opposition avec le droit, car il y a un recours à la contrainte pour faire respecter un pouvoir illégitime. Ces rapports peuvent être fondés sur "le droit du plus fort" qui est une conception faisant reposer l'autorité du chef sur sa supériorité physique. Cette force peut être une puissance physique (le plus fort l'emporte sur le plus faible) ou une puissance de commandement ; la loi humaine.
[...] Certes la politique est un rapport de force, ces rapports de force peuvent- ils être bénéfiques pour les citoyens ? Peut-il permettre de vivre en sécurité ? Mais si la politique est exclusivement rapport de force, cela ne voudrait pas dire priver les citoyens de droit, de liberté à cause d'un excès de force ? Faut-il penser que la politique est que rapport de force en divisant les hommes ou faut-il penser que la politique a des rapports de force permettant la sécurité des citoyens ? [...]
[...] Pour le bien de tous. III. Un intérêt commun Tout d'abord, les systèmes politiques doivent être justes et efficaces pour diriger dans un intérêt commun, pour Rousseau, il veut être réaliste en voulant que l'État soit efficace, mais sans renoncer à la justice, donc il doit être aussi légitime. En effet pour Rousseau comme pour Hobbes, l'État n'est pas naturel ; il résulte d'un contrat. Mais pour Rousseau, le contrat est différent de celui de Hobbes, et cherche à garantir que l'État reste juste. [...]
[...] La pluralité des partis permet de représenter plusieurs idées, conceptions différentes dans la direction de l'État. Et donc la pluralité des partis permet un bon fonctionnement de la démocratie en France par exemple, plusieurs partis permettent d'avoir une richesse d'opinion, de différent point de vue. Chaque parti essaye de faire le meilleur pour conquérir le peuple, donc de proposer de bonnes idées pour un bon fonctionnement de la cité, donc comme chaque parti veut le meilleur, il y aura plein de différentes idées, c'est ce qui fait la force de la politique pour veiller aux biens du peuple. [...]
[...] Par exemple les régimes nazis, lorsque Hitler arrive au pouvoir, avec sa force militaire, s'imposent en faisant des massacres pour toutes les personnes qui ne considèrent pas comme « allemand ». Il impose également sa force grâce à des propagandes, des promesses mensongères pour embrigader la jeunesse et diriger un peuple de manière illégitime. Tout cela est fait avec force, où le pouvoir est concentré sur une seule personne ; une dictature. Donc, ce régime politique par exemple, enlève plein de droit, de liberté, fait des massacres. [...]
[...] La politique n'est-elle qu'un rapport de force ? Rousseau dit dans le contrat social « L'homme est né libre et partout il est dans les fers ». Il remet en cause la légitimité du pouvoir des systèmes politiques. La politique est-elle donc injuste ? Utilise-t-elle la force ? Les rapports de force peuvent-ils être bien pour les citoyens ou toujours mal ? La politique, du grec Polis, « la cité » désigne l'art de gouverner la cité, de diriger un État. [...]
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