Actuellement, le libéralisme politique semble triomphant. Il naît avec les grandes revendications de libertés, et tire son fondement de l'ordre économique. L'idée est que l'ordre social se crée de lui-même et génère ses propres organes de régulation. Cela remet en cause l'idée d'un Etat, et réduit son rôle à assurer la sécurité des transactions. Ainsi, le libéralisme initial s'est élevé vs l'Etat, sa forme monarchique, despotique, ses vues et ses idées. Cet Etat a été dénoncé, il empêchait la richesse sociale de s'exprimer (...)
[...] C'est une sagesse, que l'on apelle la prudence, la vertue politique, la virtus. Un homme prudent est informé, il va agir en connaissance de cause. Le prince est avide de pouvoir, il doit rationnaliser sa passion. Pour la réussite, ça demande des décisions qui doivent être fermes et ne pas douter d'elles mêmes afin que le peuple puisse lui faire confiance.Il faut trouver le juste milieu entre trop de force et pas assez. La confiance du peuple est la valeur fondamentale avec laquelle le Prince peut asseoir son pvoir. [...]
[...] Le religieux est ce qui relie. Dans cet ouvrage, on voit apparaître une division importante entre le sacré et le profane. Durkheim interroge des societés australiennes, et dit que l'on retrouve les mêmes choses dans d'autres societés. La distinction entre ces deux entités renvoir directement à la structure de l'organisation sociale elle-même. Les societés australiennes sont divisés en clans, en tribus, en positions inter- générationnelle . C'est très compliqué, et l'identité de l'individu est très forte et très précisée. Sa position récapitule l'ensemble, le tout. [...]
[...] C'est une problèmatique toute inspirée de la réflexion de Kant. Le suicide et l'intégration. Le suicide témoigne d'un état d'anomie: anomie sociale, societé incapable de donner des règles, un espace social suffisament ordonné par des coordonées. Le suicide est plus fréquent chez des individus de confession protestante que chez des individus catholiques. Et il est plus fréquent dans les communautés catholiques que dans les communautés juives. D'où: plus l'individu est isolé, sans hierarchie, livré à lui-même, et plus il est vulnérable. [...]
[...] Garder sa parole, être loyal, engager sa parole de manière absolue. -Rendre le bien pour le bien. Cela s'exprime dans le cadre d'une formulation juridique: ne nuire à personne. -Etre équitable. Cette idée d'équité a un rapport à une honnêteté dans le cadre des transactions. Payer le juste prix des choses. Ces principes sont issus du raisonnement, et se devront inspirer le droit positif. -S'en remettre à un tier pour juger de sa cause. Etre fait et parti signifirait se retrouver dans un état de conflit, menace à la survie. [...]
[...] 1665: Traité théologico-politique. 1672: l'Ethique. Il n'a pas l'intention d'écrire une morale, c'est une enquète sur la place de l'Homme et les propositions éthiques que l'on peut en dégager. Ce n'est donc pas une doctrine autoritaire ac statut de commandement extérieur, ses préceptes sont des énoncés de nécessité. Toutes ses oeuvres sont posthumes. De son vivant, Spinoza n'a écrit que Les principes de philosophie de Descartes. Le bonheur par la recherche de la connaissance. Spinoza recherche le salut: l'apaisement, le bonheur. [...]
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