Philosophie, mouvement humaniste, éducation intellectuelle, Etienne de la Boétie, Discours de la servitude volontaire, guerres de religion
L'humanisme est un courant culturel né en Italie au 16ème siècle durant la Renaissance. Ce mouvement a pour thèmes principaux : la religion, la politique, le voyage, l'éducation, l'utopie, et le corps humain. Ce mouvement a foi en l'homme et vise à améliorer la condition de l'homme. Ainsi, quelles améliorations de la société un écrivain humaniste, conseiller du Prince pouvait-il proposer ? De quelles manières un humaniste au pouvoir pouvait-il changer la société du 16ème ? Dans un premier temps, nous allons observer une nouvelle façon de diriger mais aussi une conception du pouvoir innovante. Puis, l'éducation le moyen d'améliorer l'homme. Enfin, nous terminerons sur l'Utopie d'un monde humaniste.
[...] L'éducation est l'un des thèmes au centre des préoccupations humanistes. Pour eux, l'instruction est primordiale et ils mettent en place des techniques d'enseignement innovantes pour apprendre dans les meilleures conditions. Ainsi, pour apprendre la façon la plus favorable c'est un précepteur qui doit enseigner à un élève et non pas à tout une classe. Si la façon d'enseigner à changer le contenu des leçons également. Ainsi, selon Rabelais dans Pantagruel, un enseignement scientifique dans l'un : un enseignement pratique dans l'autre est le meilleur moyen d'apprendre. [...]
[...] De quelles manières un humaniste au pouvoir pouvait-il changer la société du 16ème ? Dans un premier temps, nous allons observer une nouvelle façon de diriger mais aussi une conception du pouvoir innovante. Puis, l'éducation le moyen d'améliorer l'homme. Enfin, nous terminerons sur l'Utopie d'un monde humaniste. La politique chez les humanistes est un sujet qui a suscité nombre de critique mais aussi d'éloge. Dans l'Institution pour l'adolescence de Charles IX, Ronsard s'adresse au jeune roi en lui définissant sa conception du souverain, ainsi tout part de l'éducation. [...]
[...] En suivant également l'histoire on remarque cela. Ainsi, la Seconde Guerre Mondiale est une guerre de religion tandis que les colonies sont une preuve de l'exploitation de l'homme. Ces deux éléments qui regroupent des faits marquants de notre histoire aux actions déjà critiquées par les humanistes. Enfin, dernière trace de cet échec humaniste, l'éducation se fait par masse. En effet, un professeur enseigne à toute une classe. Les travaux pratiques comme le voulait Rabelais sont peu pratiqués. Dernière chose, la progression en savoir et en vertu ne se fait que rarement privilégiant avant tout le savoir sur la vertu. [...]
[...] Les recherches humanistes ayant profitées aux avancées militaires. Pour conclure je dirais que les humanistes ont très vite cerné les problèmes de la société. En effet, leur vision du pouvoir et du peuple est fondé. De plus, nous avons également pu observer que les problèmes qu'ils dénoncent sont encore vrais maintenant de ce fait ils étaient en avance sur leur temps. Parallèlement à ce texte je parlerai de l'œuvre Le Prince de Nicolas Machiavel qui n'a aucun espoir concernant le peuple qu'il voit comme soumis au souverain. [...]
[...] Ainsi, dans Les Tragiques, d'Aubigné témoigne de l'atrocité de ces guerres ayant pour simple motif l'appartenance à des cultures différentes. Encore une fois nous pouvons dire que les humanistes se sont faits les dénonciateurs de crimes qui même après leurs morts ont perduré notamment la Seconde Guerre Mondiale. Ainsi, les humanistes sont en avance sur leur temps. L'utopie est un des six thèmes principaux chez les humanistes. Néologisme de Thomas More, le mot Utopie vient du titre du roman de T. More : Utopia. Ce mot désigne une société idéale, impossible à réaliser dans la réalité. [...]
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